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Bonjour,
Les enfants ne sont pas des marchandises, ils ne doivent pas servir de monnaie d'échange. Sur les 8,4 millions d'enfants qui effectuent un travail forcé, la plupart le sont pour payer des dettes des parents.C'est intolérable, c'est une atteinte à leur dignité que de les considérer comme des objets. Et les enfants ne sont pas responsables des actes de leur parents.Prenez en considération le témoignage du petit Ramu :
"Tous les matins, je fais 3 km à pied pour aller travailler dans une carrière de pierres. Mes parents ont emprunté de l’argent à mon employeur et pour rembourser leurs dettes, mon frère et moi devons travailler à la carrière de pierres tous les jours. Je soulève de grosses pierres et je les portent sur ma tête pendant plusieurs heures. À midi, nous ne mangeons qu’un bol de riz que mes parents ont préparé. Très souvent ... J’ai donc été obligé de retourner à la carrière de pierres malgré ma faiblesse".
Nous nous demandons ce que font les états pour tolérer et accepter ce genre de pratique qui met en péril ces enfants qui comme nous ont réellement le droit au "Bonheur". Lespoliticiens, les gouvernements, et les associations devraient sincèrement mettre en place des cellules d'aide à ces enfants qui sont en danger de mort constante. Il me semble que cela devrait être vraiment puni et sanctionné pour qu'enfin ces «"petits êtres" puissent vivre en toute sécurité.
Nous avons beau dire que nous sommes tous égaux, voici la preuve que non !!!
Les enfants ne sont pas des marchandises, ils ne doivent pas servir de monnaie d'échange. Sur les 8,4 millions d'enfants qui effectuent un travail forcé, la plupart le sont pour payer des dettes des parents.C'est intolérable, c'est une atteinte à leur dignité que de les considérer comme des objets. Et les enfants ne sont pas responsables des actes de leur parents.Prenez en considération le témoignage du petit Ramu :
"Tous les matins, je fais 3 km à pied pour aller travailler dans une carrière de pierres. Mes parents ont emprunté de l’argent à mon employeur et pour rembourser leurs dettes, mon frère et moi devons travailler à la carrière de pierres tous les jours. Je soulève de grosses pierres et je les portent sur ma tête pendant plusieurs heures. À midi, nous ne mangeons qu’un bol de riz que mes parents ont préparé. Très souvent ... J’ai donc été obligé de retourner à la carrière de pierres malgré ma faiblesse".
Nous nous demandons ce que font les états pour tolérer et accepter ce genre de pratique qui met en péril ces enfants qui comme nous ont réellement le droit au "Bonheur". Lespoliticiens, les gouvernements, et les associations devraient sincèrement mettre en place des cellules d'aide à ces enfants qui sont en danger de mort constante. Il me semble que cela devrait être vraiment puni et sanctionné pour qu'enfin ces «"petits êtres" puissent vivre en toute sécurité.
Nous avons beau dire que nous sommes tous égaux, voici la preuve que non !!!
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