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Une voix ,une voix qui venait de si loin
Qu'elle ne faisait plus teinter les oreilles,
Une voix ,comme un tambour, voilée
Parvenait pourtant ,distinctement, jusqu' à nous
Bien qu'elles semblait sortie d un tombeau
Elle ne parlait que d'été et de printemps
Elle emplit le corps de joie,
Elle allumait aux lèvres le sourire
Qu'elle ne faisait plus teinter les oreilles,
Une voix ,comme un tambour, voilée
Parvenait pourtant ,distinctement, jusqu' à nous
Bien qu'elles semblait sortie d un tombeau
Elle ne parlait que d'été et de printemps
Elle emplit le corps de joie,
Elle allumait aux lèvres le sourire
Une voix, une voix qui venait de si loin
Qu'elle ne faisait plus teinter les oreilles,
Une voix, comme un tambour, voilée
Parvenait pourtant, distinctement, jusqu'à nous
Bien qu'elle semblait sortie d'un tombeau
Elle ne parlait que d'été et de printemps
Elle emplissait le corps de joie,
Elle allumait aux lèvres le sourire
Qu'elle ne faisait plus teinter les oreilles,
Une voix, comme un tambour, voilée
Parvenait pourtant, distinctement, jusqu'à nous
Bien qu'elle semblait sortie d'un tombeau
Elle ne parlait que d'été et de printemps
Elle emplissait le corps de joie,
Elle allumait aux lèvres le sourire
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