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Bonjour,
Voici quelques idées :
. le 18e français et européen bénéficie sur les plans géographique et économique des découvertes du 16e(Amérique, Atlantique, Afrique, Inde...) et des fabuleux développements, et bénéfice économiques et scientifiques qu'elles ont générés au 17e ( nombreuses Cie maritime qui écument les océans , nouvelles colonies qui assurent la production de nouvelles matières premières pour les métropoles, expéditions scientifiques qui se joignent aux expéditions économiques.. ).
. Conséquemment, on découvre aussi de nouveaux peuples, de nelles coutumes, de neaux comportements et le "penseur" de la fin du 17e et du 18e s'interroge sur le bien-fondé de la supériorité des valeurs occidentales latino-greco-chretiennes qui s'exportaient dans ce nouveau monde. Il se transforme un peu en ethnologue des nouveaux autochtones et, décrète la supériorité du " bon sauvage".
. Ainsi, voit-on la littérature du 18e se peupler de voyageurs au long cours, en recherche de nelles valeurs ( par ex. Chez Voltaire, " Jacques le Fataliste et son Maître", Bernardin de St Pierre et son " Paul et Virginie", l'abbé Prevost et sa " Manon Lescaut "...).
Tout est neuf, vierge, intouché, en l'état de nature dans ces nouvelles terres non civilisées.
D'où la naissance littéraire et philosophique du mythe du bon sauvage dont J.J. Rousseau va faire son idéal d'éducation au travers de son " Emile ".
. Évidemment, cet enthousiasme va vite se heurter à la réalité et à la nécessité dune vie en stéréo qui exige, qu'on le veuille ou non, des règles et des lois...
voilà quelques pistes de réflexion.
bon travail
Voici quelques idées :
. le 18e français et européen bénéficie sur les plans géographique et économique des découvertes du 16e(Amérique, Atlantique, Afrique, Inde...) et des fabuleux développements, et bénéfice économiques et scientifiques qu'elles ont générés au 17e ( nombreuses Cie maritime qui écument les océans , nouvelles colonies qui assurent la production de nouvelles matières premières pour les métropoles, expéditions scientifiques qui se joignent aux expéditions économiques.. ).
. Conséquemment, on découvre aussi de nouveaux peuples, de nelles coutumes, de neaux comportements et le "penseur" de la fin du 17e et du 18e s'interroge sur le bien-fondé de la supériorité des valeurs occidentales latino-greco-chretiennes qui s'exportaient dans ce nouveau monde. Il se transforme un peu en ethnologue des nouveaux autochtones et, décrète la supériorité du " bon sauvage".
. Ainsi, voit-on la littérature du 18e se peupler de voyageurs au long cours, en recherche de nelles valeurs ( par ex. Chez Voltaire, " Jacques le Fataliste et son Maître", Bernardin de St Pierre et son " Paul et Virginie", l'abbé Prevost et sa " Manon Lescaut "...).
Tout est neuf, vierge, intouché, en l'état de nature dans ces nouvelles terres non civilisées.
D'où la naissance littéraire et philosophique du mythe du bon sauvage dont J.J. Rousseau va faire son idéal d'éducation au travers de son " Emile ".
. Évidemment, cet enthousiasme va vite se heurter à la réalité et à la nécessité dune vie en stéréo qui exige, qu'on le veuille ou non, des règles et des lois...
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