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-Un embouteillage est un encombrement de la circulation automobile, réduisant fortement la vitesse de circulation des véhicules.
Il existe donc des définitions plus précises pour déterminer ce qui relève ou non d'un embouteillage. Pour Ortúzar et Willumsen, en 1994, « un embouteillage commence quand les niveaux de demandes se rapprochent de la capacité d'une installation, et le temps nécessaire à son utilisation (sa traversée) augmente bien au-delà de la moyenne observée lors de l'utilisation sous faible demande ».
-Depuis plusieurs décennies, le nombre et l'ampleur des embouteillages sont globalement en augmentation, notamment dans les pays en voie de développement. Les causes sont multiples, la principale étant l'augmentation du trafic automobile. Le mauvais état de certaines infrastructures favorise également les bouchons, ainsi que le manque d'information des usagers. Dans certaines régions, la division des autorités en divers organismes, parfois peu efficaces, ainsi que le style de conduite agressif peuvent être des facteurs aggravants.
-Une affluence supérieure à la capacité de la route provoque des encombrements.Par rapport à une situation de trafic fluide, cela peut être dû à une augmentation du trafic ou à une baisse de la capacité de la voie.
La première situation survient en particulier en heure de pointe, aux heures d'entrée et de sortie des emplois, dans un cadre quotidien et plutôt urbain ou périurbain.. Elle survient aussi plus ponctuellement, par exemple en période de congés, notamment avec les chassés-croisés.
La deuxième situation survient de manière plus exceptionnelle ou aléatoire. La capacité peut être réduite par les conditions météorologiques, par un accident, par des travaux ou d'autres obstacles comme une barrière de péage, un carrefour, un véhicule lent. Certains embouteillages peuvent être intentionnels, provoqués par des manifestations ou des « opérations escargots », voire pour montrer la nuisance de ceux-ci.
-Les embouteillages ont de nombreuses conséquences économiques, sociales, sanitaires et écologiques.
Le temps passé dans les embouteillages est majoritairement considéré comme perdu, n'étant utilisé ni pour le travail ni pour les loisirs. Cette perte a un coût économique très important. À Paris, le boulevard périphérique de 35 km sur (en moyenne) 3 voies sur chaque direction et une voiture tous les dix mètres sur chaque voie représente donc en gros 21 000 véhicules immobilisés représentant un capital d'environ 21 millions d'euros. Si un million de Parisiens perdent une heure par jour en transports, cela représente un million d'heures par jour, soit l'équivalent de 57 vies humaines "perdues" par an.
Autre conséquence, les retards de livraison peuvent être dramatiques pour les entreprises, notamment celle qui utilisent le principe du Juste-à-temps (flux tendu).
Voila j’espère que cela te suffit . Bon courage
Il existe donc des définitions plus précises pour déterminer ce qui relève ou non d'un embouteillage. Pour Ortúzar et Willumsen, en 1994, « un embouteillage commence quand les niveaux de demandes se rapprochent de la capacité d'une installation, et le temps nécessaire à son utilisation (sa traversée) augmente bien au-delà de la moyenne observée lors de l'utilisation sous faible demande ».
-Depuis plusieurs décennies, le nombre et l'ampleur des embouteillages sont globalement en augmentation, notamment dans les pays en voie de développement. Les causes sont multiples, la principale étant l'augmentation du trafic automobile. Le mauvais état de certaines infrastructures favorise également les bouchons, ainsi que le manque d'information des usagers. Dans certaines régions, la division des autorités en divers organismes, parfois peu efficaces, ainsi que le style de conduite agressif peuvent être des facteurs aggravants.
-Une affluence supérieure à la capacité de la route provoque des encombrements.Par rapport à une situation de trafic fluide, cela peut être dû à une augmentation du trafic ou à une baisse de la capacité de la voie.
La première situation survient en particulier en heure de pointe, aux heures d'entrée et de sortie des emplois, dans un cadre quotidien et plutôt urbain ou périurbain.. Elle survient aussi plus ponctuellement, par exemple en période de congés, notamment avec les chassés-croisés.
La deuxième situation survient de manière plus exceptionnelle ou aléatoire. La capacité peut être réduite par les conditions météorologiques, par un accident, par des travaux ou d'autres obstacles comme une barrière de péage, un carrefour, un véhicule lent. Certains embouteillages peuvent être intentionnels, provoqués par des manifestations ou des « opérations escargots », voire pour montrer la nuisance de ceux-ci.
-Les embouteillages ont de nombreuses conséquences économiques, sociales, sanitaires et écologiques.
Le temps passé dans les embouteillages est majoritairement considéré comme perdu, n'étant utilisé ni pour le travail ni pour les loisirs. Cette perte a un coût économique très important. À Paris, le boulevard périphérique de 35 km sur (en moyenne) 3 voies sur chaque direction et une voiture tous les dix mètres sur chaque voie représente donc en gros 21 000 véhicules immobilisés représentant un capital d'environ 21 millions d'euros. Si un million de Parisiens perdent une heure par jour en transports, cela représente un million d'heures par jour, soit l'équivalent de 57 vies humaines "perdues" par an.
Autre conséquence, les retards de livraison peuvent être dramatiques pour les entreprises, notamment celle qui utilisent le principe du Juste-à-temps (flux tendu).
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