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soudain, un violent orage éclata, le vent se mit à souffler, une averse de gros grêlons s'abattit sur la foule, qui s'éparpilla en courant. Tous les protagonistes de l'éxécution s'enfuirent, effrayés, apeurés par le déchainement des éléments , laissant seul face à face Sparrow et son bourreau. Un signe du ciel ! Le bourreau restait là, planté, ne sachant que faire ! Sparrow, lui, un petit rictus au coin des lèvres, malgré la pluie, la grêle, les éclairs, restait impassible, comme si plus rien n'avait d'importance, comme si plus rien ne pouvait le toucher !!!!! L'orage grondait de plus en plus fort, le bourreau s'enfuit à son tour, pestant contre le diable !!! Sparrow venait d'échapper à l'échafaud ! La pluie redoublait de violence, le ciel était blanc, zébré d'éclairs, le vent soufflait à n'en plus finir, la place était déserte, c'était l'apocalypse !!!!!
Soudain, des cris, des cris qui se rapprochaient. Yeh, yeh yeh !!!!!! des bruits de chevaux, de charrettes . Et tout à coup, au milieu de nulle part, sous une pluie torrentielle, des saltimbanques surgirent sur cette place déserte, où l'unique occupant était sur l'échafaud, pieds et poings liés.Celui qui semblait être le chef, descendit de son cheval, grimpa les quelques marches qui le séparait de Sparrow, et d'un geste brusque, sans un regard, défie les liens du pirate, et lui ordonna, d'un geste, d'un seul, de s'enfuir. Sparrow ne savait à qui il devait son salut, mais remercia le ciel et salua cet inconnu d'un geste de la main. L'orage grondait toujours, le tonnerre redoublait, la pluie diluvienne tombait, et au loin, l'ombre de Sparrow..........
Soudain, des cris, des cris qui se rapprochaient. Yeh, yeh yeh !!!!!! des bruits de chevaux, de charrettes . Et tout à coup, au milieu de nulle part, sous une pluie torrentielle, des saltimbanques surgirent sur cette place déserte, où l'unique occupant était sur l'échafaud, pieds et poings liés.Celui qui semblait être le chef, descendit de son cheval, grimpa les quelques marches qui le séparait de Sparrow, et d'un geste brusque, sans un regard, défie les liens du pirate, et lui ordonna, d'un geste, d'un seul, de s'enfuir. Sparrow ne savait à qui il devait son salut, mais remercia le ciel et salua cet inconnu d'un geste de la main. L'orage grondait toujours, le tonnerre redoublait, la pluie diluvienne tombait, et au loin, l'ombre de Sparrow..........
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