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S'il vous plait aidez moi je doit rédiger une petite scène de théatre (l"avare)
donnez moi des idée s'est pour demain
la consigne est ;vous devrez fidèle au genre de la comédie conserver le registre comique vous respecterez les codes de l'écriture théatrale en observant les règles de mise en page et en imaginant diverses didascalies vos personnages garderont leurs caractéristique principales(harpagon avare et excesssif et la flèche valet rusé et insolent)

voici les deux situations

la flèche est en train de déterrer l'argent dans le jardin pour le voler quand survient harpagon

ou

harpagon est dans le jardin il vérifie que sont argent s'y trouve toujours quand arrive brusquement la flèche qui le surprend

merci d'avance pour votre aide c'est assez urgent


Répondre :

  La flèche après avoir creusé à plusieurs endroits du jardin déterre lorsqu’Harpagon le surprend.


Harpagon : Ah ! Brigand, fripon, pendard vous vouliez me dérober mon ami ! Allons vite que l’on m’amène un prévôt, un juge, une potence. Je me ferai moi-même bourreau !

La flèche (se retournant vers Harpagon) : Comment ? Point du tout mon bon maitre. Depuis la fenêtre du salon j’ai observé un homme tout  vêtu de noir creusant d’ici de là  Et au péril de ma vie je l’ai bravé le danger et l’ai mis en déroute.  J’ai bravé ce coquin au moment même ou il allait se saisir de votre cassette.

Harpagon (saisissant la caissette des mains de La Flèche) : Ah, mon argent, mon cher ami on a failli me priver de toi !(Harpagon caresse sa caissette en l’embrassant).

La Flèche : Je m’en vais dès à présent chercher  mon maitre Cléandre afin qu’il puisse vous trouver un endroit plus sur pour votre cassette. (La Flèche quitte la scène)

Harpagon : (serrant contre lui son trésor et s’adressant à lui-même) .Non, non, non ! Je n’ai nul besoin de quiconque pour mettre mes pièces d’or en sureté. Et encore moins de ce fourbe de fils ! Ils en veulent tous à mes pièces d’or.

(Entendant un bruit derrière lui) Hein ! Qui est là ? Sort de ta cachette maraud, pendard, brigand ! Viens donc par ici gouter de la pointe de mon épée. Je te transpercerai les entrailles, je te taillerai en morceau et te jetterai en pâture aux chiens ! (Saisissant son bras) Ah, c’est moi ! Mais il faut dès à présent que j’aille mettre mon trésor à l’abri de tous ses rôdeurs, ses malfrats, ses bandits qui veulent me dérober !