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En une trentaine de lignes vous rédigerez le portrait d'un misérable de notre époque. Votre texte sera à la troisième personne. Vous utiliserez les temps du passé

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Ce n'est pas tous les jours que j'ai le loisir de paresser dans mon lit . Donc , samedi dernier , j'avais décidé de prolonger ma grasse matinée . Malheureusement , je fus tiré du lit par un vacarne assourdissant . A moitié réveilée , je jetais un coup d'oeil rapide par la fenetre de ma chambre . Je vis alors des ouvriers communaux qui s'affesait à couper les branches des eucalyptuse centenaires qui longeait notre ruelle . Je me mis alors à les observer avec stupeur . C'est la que je découvrai avec stupeur le campement de fortune d'un pauvre petit enfant . Je savait qu'il était là , mais je n'avais pas le culot d'aller lui parler . Il avait une mine défaite et le visage charpée de toute les douleurs et les chagrins qui avaient jailloné sa courte et misérable exictence . Ses vetements qui ressemblaient à des haillons avaient pris la couleurs de la saleté . J'ai eu donc le soin de l'observer de la tete au pied , et il faisait pitié . D'instincts , je décidai enfin d'aller lui à sa rencontre . Non sans avoir fait un passage dans la cuisine et emporter dans mes mains de la nourriture pour trois personnes car je pensais qu'il devait avoir très faim . Finalement , arrivé près de lui , je lui adressai un petit sourire , lui dit bonjour et lui tendis le plateau dans lequel j'avais préparé un copieux petit déjeuner . Il me regarda avec des yeux reconnaissant et je fus étonné de l'ai paisible de ce mome . Je reviens à la maison avec une idée qui avait fait son chemain dans mon coeur . Celle de la magnifique réciprocité du bonheur : le donner et le recevoir .