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Bonjour, par "dimension juridique", il faut comprendre : quel est le cadre légal qui réglemente la pratique religieuse ? Par exemple : la loi autorise-t-elle le prosélytisme ? le communautarisme ? les discours extrémistes ? le port de signes religieux ostentatoires ? le fait d'imposer ses croyances aux autres (qu'il s'agisse d'une tenue vestimentaire, d'un régime particulier...) ? Où s'arrête le domaine privé des croyances ou pratiques personnelles, où commence le domaine public ?
La question n'est pas simple, car pour certains, tout ce qui n'est pas explicitement interdit est forcément... légal et autorisé implicitement. D'où la controverse, par exemple, autour du burkini cet été : les arrêtés municipaux l'interdisant sont-ils légaux... ou non ? Et quand bien même il n'y a pas de loi spécifique, autoriser le burkini ne risque-t-il pas 1) de renforcer un certain communautarisme, 2) d'agresser visuellement tous ceux qui n'ont pas les mêmes convictions ?
C'est de ce genre de problèmes qu'il te faudra parler. Les convictions religieuses personnelles doivent-elles se soumettre à la loi... ou est-ce le contraire ?
Il y a aussi un encadrement juridique indispensable : qu'est-ce que la loi reconnaît comme religion, officiellement ? Car tout ce qui n'est pas officiellement reconnu, ou autorisé, est automatiquement qualifié de mouvement sectaire. Donc illégal et passible de poursuites pénales, comme les cultes sataniques, la scientologie, etc...
Bon courage pour t'y retrouver dans tout cela...
La question n'est pas simple, car pour certains, tout ce qui n'est pas explicitement interdit est forcément... légal et autorisé implicitement. D'où la controverse, par exemple, autour du burkini cet été : les arrêtés municipaux l'interdisant sont-ils légaux... ou non ? Et quand bien même il n'y a pas de loi spécifique, autoriser le burkini ne risque-t-il pas 1) de renforcer un certain communautarisme, 2) d'agresser visuellement tous ceux qui n'ont pas les mêmes convictions ?
C'est de ce genre de problèmes qu'il te faudra parler. Les convictions religieuses personnelles doivent-elles se soumettre à la loi... ou est-ce le contraire ?
Il y a aussi un encadrement juridique indispensable : qu'est-ce que la loi reconnaît comme religion, officiellement ? Car tout ce qui n'est pas officiellement reconnu, ou autorisé, est automatiquement qualifié de mouvement sectaire. Donc illégal et passible de poursuites pénales, comme les cultes sataniques, la scientologie, etc...
Bon courage pour t'y retrouver dans tout cela...
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