Le prince et le baron me laissèrent de côté. tant pis j'aime bien être tranquille. malheureusement, une semaine après mon arrivé, je vis tous les "von" s'approcher de moi pendant la récréation du second cours. Le prince me parla ainsi que le Freiherr. Je ne les écoutais pas et n'entendez qu'une bribe de mots tel que : "Ma tante Hoenlohe" ou bien " Maxie a dit". Mais pourquoi parlait-il de Maxie ? Il citèrent d'autre noms qui m'était familier mais je n'y prêtait aucune attention, seulement avide que la cloche sonne enfin la fin de la récréation. De plus cette conversation était ridicule. Après ceci, certain m'adresser d'aimable sourire et faisait des signe de tête, mais je ne leur répondait pratiquement pas, qu'en avais-je à faire ? Quelque jours plus tard, trois garçon, Franck, Reutter et Müller je crois, vinrent m’accoster. Le dénommé Franck ( je crois ) m'arrêta d'un geste alors que je sortais de la salle de classe. je haussa un sourcils surpris et le dévisagea. Il bredouilla quelque chose d'intelligible à propos de " notre petit salon ". Je savais qu'il parlait de se salon de lecture de poème et de Literaturbund. Je lui adressais mon sourire le plus poli et contourna en laissant entrevoir que j'était terriblement occupé pour le moment. En les laissant apparemment frustré sur le seuil de classe