Répondre :
Salut
Tu peux dire que le longueur (plus de mots) semble rallonger également la souffrance et la douleur par l'idée que la phrase ne s'arrête pas là où on l'attendait donc la pénibilité s'en trouve accentuée.
J'essaye d'être plus claire:
Le vers 2 n'est que de l'attente finalement, il ne s'y passe rien, le bûcheron est en mouvement (au vers 3 on nous dit "marchait à pas pesants"), ça rajoute à cette impression que cette marche est dure et interminable. Chaque syllabe semble martelée comme le pas pesant du bûcheron (tu remarques en plus ce p p qui alourdit)
Tu peux dire que le longueur (plus de mots) semble rallonger également la souffrance et la douleur par l'idée que la phrase ne s'arrête pas là où on l'attendait donc la pénibilité s'en trouve accentuée.
J'essaye d'être plus claire:
Le vers 2 n'est que de l'attente finalement, il ne s'y passe rien, le bûcheron est en mouvement (au vers 3 on nous dit "marchait à pas pesants"), ça rajoute à cette impression que cette marche est dure et interminable. Chaque syllabe semble martelée comme le pas pesant du bûcheron (tu remarques en plus ce p p qui alourdit)
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