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23 septembre 1916, à Verdun
Ma chère Edith,
C'est Joseph qui vous écrit, l'homme a qui vous étiez promise et qui en ce jour et depuis des mois éssaie de survivre à cet enfer, qui chaque jour voit sa derniere heure venir. La vie dans les tranchées est très dure, l'odeur nauséabonde de la mort règne, les rats nous dévorent vivant quand ce n'est pas les poux. La boue nous envahit et nous empèche d'avancer. Le froid nous gèle les os, nous ne buvons et mangeons que très peu, les restes de nos amis qui ont périent, non pas leurs os, leurs miettes de pains qu'ils ont parfois laissés. Il n'y a pas d'hygiène ici, on est sales, les vêtements, le corps, tout est sale. La nuit, on ne dors pas, non, il faut toujours être prêt à attaquer, à tuer. Tuer pour survivre ou vivre pour tuer?!
Mais ce n'est rien comparé au champ de bataille, une mare de cadavres pourrissant, ceux qui étaient un jour nos amis, nos frères, nos pères... ce n'est qu'un champ ravagé par les obus, les mines, la haine de battre. C'est un carnage qui nous térrorise tous.
Ma chère et tendre Edith, je pense à vous tout les jours, une lettre j'aimerais tellement recevoir cette lettre qu'on attend tous, et même si je ne revient jamais sachez que je continuerais à vous aimer. La seule chose qui me donne de l'espoir pour me battre, la seule force qui me permet de survivre, c'est de savoir que ma famille m'attend, à la maison. Prenez soin de vous.
Joseph
Ma chère Edith,
C'est Joseph qui vous écrit, l'homme a qui vous étiez promise et qui en ce jour et depuis des mois éssaie de survivre à cet enfer, qui chaque jour voit sa derniere heure venir. La vie dans les tranchées est très dure, l'odeur nauséabonde de la mort règne, les rats nous dévorent vivant quand ce n'est pas les poux. La boue nous envahit et nous empèche d'avancer. Le froid nous gèle les os, nous ne buvons et mangeons que très peu, les restes de nos amis qui ont périent, non pas leurs os, leurs miettes de pains qu'ils ont parfois laissés. Il n'y a pas d'hygiène ici, on est sales, les vêtements, le corps, tout est sale. La nuit, on ne dors pas, non, il faut toujours être prêt à attaquer, à tuer. Tuer pour survivre ou vivre pour tuer?!
Mais ce n'est rien comparé au champ de bataille, une mare de cadavres pourrissant, ceux qui étaient un jour nos amis, nos frères, nos pères... ce n'est qu'un champ ravagé par les obus, les mines, la haine de battre. C'est un carnage qui nous térrorise tous.
Ma chère et tendre Edith, je pense à vous tout les jours, une lettre j'aimerais tellement recevoir cette lettre qu'on attend tous, et même si je ne revient jamais sachez que je continuerais à vous aimer. La seule chose qui me donne de l'espoir pour me battre, la seule force qui me permet de survivre, c'est de savoir que ma famille m'attend, à la maison. Prenez soin de vous.
Joseph
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