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Bonjour :)
Voici ma proposition !
Mon aimée,
Sachez que je me languis de vous sans aucun doute autant que vous. Je dirais même que ma douleur de ne pouvoir vous serrer dans mes bras me prend au cœur comme si on me le broyait à petit feu. Je compte chaque minute qui nous sépare et n'ai de cesse que d'espérer pouvoir faire de cet éloignement le dernier que nous eussions à subir.
Il n'y a point de femmes où je suis, mais que sais-je qu'il n'y a point d'hommes de votre côté ? Sachez que cet ignoble soupçon, cette jalousie obscure, m'étreint à chaque inspiration, et je ne peux que vous faire confiance sur ce point. Hélas ! Est-il donc possible que je ne vous revois que dans deux jours encore ? Deux jours trop longs, une distance trop grande, et un malheur incommensurable que je ressens toujours. Suis-je donc censé pouvoir mettre mon amour pour vous de côté durant cet éloignement ?
Ah ! Cela m'est impossible ! Qui eût cru que l'amour était source d'autant de douleurs ? Je me sens mourir à petit feu de cet éloignement et je ne puis le supporter aussi longtemps !
Je me refuse à imaginer notre séparation. Ce serait un malheur que je ne pourrais souffrir. Je ne saurais me résoudre un jour à une telle éventualité. Ah ! Marianne, qu'osez-vous bien penser de moi ? Je ne saurais agir de la sorte ! Mon coeur ne bat que pour vous et je ne puis aimer au monde que vous. Vous êtes celle qui a su me comprendre et me séduire, celle que je veux avoir auprès de moi tous les jours de ma vie. Le devoir me retient en effet, mais je suis avec vous en pensée. L'éloignement ne tient que du corps, mon esprit n'est resté qu'auprès de vous. Chaque fois que je ferme les yeux, je peux vous voir devant moi, je peux saisir votre main et la poser sur mon coeur. Ce n'est qu'un maigre réconfort, mais le seul qui me permette de tenir aussi longtemps. Marianne, ma si belle Marianne. Attendez moi encore. Attendez moi encore un peu. Je vous en prie. Ne m'abandonnez pas au malheur de la solitude sombre que vous semblez nous destinez. Notre amour n'en sera que plus fort lorsque nous nous retrouverons ! Jamais, jamais entendez-vous ? Jamais je ne laisserai un destin quelconque forcer notre séparation. Je serai auprès de vous aussi longtemps que vous voudrez de moi.
Je vous embrasse tendrement,
Votre amant.
Voici ma proposition !
Mon aimée,
Sachez que je me languis de vous sans aucun doute autant que vous. Je dirais même que ma douleur de ne pouvoir vous serrer dans mes bras me prend au cœur comme si on me le broyait à petit feu. Je compte chaque minute qui nous sépare et n'ai de cesse que d'espérer pouvoir faire de cet éloignement le dernier que nous eussions à subir.
Il n'y a point de femmes où je suis, mais que sais-je qu'il n'y a point d'hommes de votre côté ? Sachez que cet ignoble soupçon, cette jalousie obscure, m'étreint à chaque inspiration, et je ne peux que vous faire confiance sur ce point. Hélas ! Est-il donc possible que je ne vous revois que dans deux jours encore ? Deux jours trop longs, une distance trop grande, et un malheur incommensurable que je ressens toujours. Suis-je donc censé pouvoir mettre mon amour pour vous de côté durant cet éloignement ?
Ah ! Cela m'est impossible ! Qui eût cru que l'amour était source d'autant de douleurs ? Je me sens mourir à petit feu de cet éloignement et je ne puis le supporter aussi longtemps !
Je me refuse à imaginer notre séparation. Ce serait un malheur que je ne pourrais souffrir. Je ne saurais me résoudre un jour à une telle éventualité. Ah ! Marianne, qu'osez-vous bien penser de moi ? Je ne saurais agir de la sorte ! Mon coeur ne bat que pour vous et je ne puis aimer au monde que vous. Vous êtes celle qui a su me comprendre et me séduire, celle que je veux avoir auprès de moi tous les jours de ma vie. Le devoir me retient en effet, mais je suis avec vous en pensée. L'éloignement ne tient que du corps, mon esprit n'est resté qu'auprès de vous. Chaque fois que je ferme les yeux, je peux vous voir devant moi, je peux saisir votre main et la poser sur mon coeur. Ce n'est qu'un maigre réconfort, mais le seul qui me permette de tenir aussi longtemps. Marianne, ma si belle Marianne. Attendez moi encore. Attendez moi encore un peu. Je vous en prie. Ne m'abandonnez pas au malheur de la solitude sombre que vous semblez nous destinez. Notre amour n'en sera que plus fort lorsque nous nous retrouverons ! Jamais, jamais entendez-vous ? Jamais je ne laisserai un destin quelconque forcer notre séparation. Je serai auprès de vous aussi longtemps que vous voudrez de moi.
Je vous embrasse tendrement,
Votre amant.
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