Bonjour , je suis en 4eme et je bloque sur cet exercice il est a rendre pour demain .
Pouvez vous m'aider ?
S'il vous plait .
Merci d'avance . : ) ♥

Texte :
" Le 6 mai,dans la matinée,une femelle quitte son cocon en ma présence,sur la table de mon laboratoire aux bêtes . Je la croître aussitôt , sous une cloche en toile métallique .
Bien m'en prit.Vers les 9h du soir , la maisonnée se couchant,grand remue-ménage dans la chambre voisine de la mienne . A demi déshabillé , petit Paul va, vient,court,saute,trépigne,renverse les chaises,comme affolé. Je l'entends m’appeler. " Viens vite, clame-t-il;viens voir ces papillons,gros comme des oiseaux! La chambre en est pleine ! "
Chaque fois c'est a la nuit noire, entre 8h et 10h du soir, que les papillons arrivent, un par un.
A ces ténèbres s’ajoutent, pour les arrivants, les difficultés de l’accès. Même en lui accordant la perception de certains rayons,cette vue extraordinaire ne saurait être ce qyi avertit le papillon à distance et le fait accourir.
Le son est également hors de cause. La bête pansue, capable de convoquer de si loin, est silencieuse, même pour l'oreille la plus délicate .
Reste l'odeur : jusqu'ici la femelle a été laissé a découvert, sous les mailles d'une toile métallique. Je loge donc la femelle dans des boites de nature variée. Il y'en a en fer-blanc, en bois en carton. Toutes sont hermétiquement closes , lutées même avec le mastic gras. Je fais également usage d'une cloche en verre reposant sur l'appui isolateur d'un carreau vitre. Eh bien, dans ces conditions de rigoureuse clôtures , jamais un mâle n'arrive, jamais un seul, si favorable que soient la douceur et le calme de la soirée . " D’après Jean-Henri Fabre (1823-1915) entomologiste .

Questions:
1.Quelles sont les premières observations de Fabre après avoir emprisonné la femelle ?
2.Quels sont les 2 stimulus d'attraction du mâle qu'il rejette d'entrée ?
3.Quel stimulus va-t-il rester ?
4.Quelle conclusion peut-il en tirer ?
5.A-t-il eu recours à des expériences témoins ? Justifiez votre réponse.