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J'étais assise dans mon canapé en regardant l'une de mes séries préférées. C'était un vendredi soir. Ma sœur s'était rendu au restaurent avec ma fille de 5 ans. J'étais étudiante à l'université d'Hallay, une petite ville presque méconnue de Suisse, pour devenir bijoutière. Je me situais très haut dans le classement de l'université. Pour une fois j'avais un weekend de libre, j'avais décidé de passé ma première soirée à me détendre.
Pendant une page de publicités, mon téléphone se mit à sonner. Je crû tout d'abord à un appel de Orléane,ma sœur aînée. Elle avait tendance à oublier le code d'entrée de l'immeuble. Mais le numéro était masqué. Je décida de raccrocher mais le numéro insista si bien que je finis par décrocher:
- Allô?
- Bonsoir, Lyly, me dit une voix grave.
- Qui est-ce ?
- Ne les attends pas, cela ne sert à rien.
- Pardon ?
- Si tu me le donnes, je les libéreraient.
- Vous racontez du n'importe quoi !
- Tu as vingt quatre heures Lyly ou elles mourront.
- Qui ?
- Ta sœur et ta fille.
Sur le coup je resta sans voix mais il ne tarda pas à combler ce silence :
- Si tu veux me le donner,tu sauras où me trouver
- De quoi vous parlez ?
- Tu sais très bien Lyly. Toi, d'ordinaire si futée, tu ne tarderas pas à me trouver. Bonne nuit, Lyly.
Et il raccrocha aussitôt. J'avais des sueurs froides qui me collaient dans le dos. Cet homme ne pouvait parler que d'une seule chose. Mais ce n'était pas concevable. Personne, même pas Sarah ne savait ce qui s'était passé. Elle avait tout fait pour. Et maintenant, elle se retrouvait prise à son propre piège...
Pendant une page de publicités, mon téléphone se mit à sonner. Je crû tout d'abord à un appel de Orléane,ma sœur aînée. Elle avait tendance à oublier le code d'entrée de l'immeuble. Mais le numéro était masqué. Je décida de raccrocher mais le numéro insista si bien que je finis par décrocher:
- Allô?
- Bonsoir, Lyly, me dit une voix grave.
- Qui est-ce ?
- Ne les attends pas, cela ne sert à rien.
- Pardon ?
- Si tu me le donnes, je les libéreraient.
- Vous racontez du n'importe quoi !
- Tu as vingt quatre heures Lyly ou elles mourront.
- Qui ?
- Ta sœur et ta fille.
Sur le coup je resta sans voix mais il ne tarda pas à combler ce silence :
- Si tu veux me le donner,tu sauras où me trouver
- De quoi vous parlez ?
- Tu sais très bien Lyly. Toi, d'ordinaire si futée, tu ne tarderas pas à me trouver. Bonne nuit, Lyly.
Et il raccrocha aussitôt. J'avais des sueurs froides qui me collaient dans le dos. Cet homme ne pouvait parler que d'une seule chose. Mais ce n'était pas concevable. Personne, même pas Sarah ne savait ce qui s'était passé. Elle avait tout fait pour. Et maintenant, elle se retrouvait prise à son propre piège...
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