Bonjour pourriez vous m'aider pour un devoir svp :

Consigne :

Quelle vision Zola nous donne t- il du grand magasin ?
On utilisant le plan fait en classe ( 3 paragraphe , le magasin , les clients et la vision du commerce )

exemple : C'est un lieu désagréable parce que .......

Plan fait en classe :

Le magasin :

a) un lieu désagréable : les bruits du dehors , dans l'air immobile , l'étouffement du calorifère, tous les bruits , la machine surchauffée , le brouhaha augmentait .
b) un lieu déshumanisé : les bruits du dehors , Paris immense du'une immensité , dans l'air immobile , la machine surchauffée , suffoquée , la dégager , la trépidation intérieur étouffait , charges , caves béantes .

Les clients :

a) Très nombreuses / foule / masse .... : bousculade , une houle compacte de têtes , s'élargissant en fleuve débordé , la dance des clientes , une foule , du piétinement , cohue .
b) Manipulé : qu'ils se passaient des uns aux autres , la dance des clientes , fournirait des acheteuses .

La vision du commerce :

a) Séducteur : l'odeur des étoffes , grand murmure de la vente , des même phrases cent fois répétées autour des comptoirs .
b) Violent : une guerre : toute une bataille du négoce, leur tirait l'argent de la chair , une folie soufflait , vendeurs tenaient à merci ce peuple de femmes , de triomphe , en haut de l'escalier Mouret , la victoire , de triomphe , des caisses assiégées , de porte - monnaie , sans relâche .

Et voici le texte :

Ce n'était plus chose facile que de gagner l'escalier . Une houle compacte de têtes roulait sous les galeries , s'élargissant en fleuve débordé au milieu du hall. Toute une bataille du négoce montait , les vendeurs tenaient à merci ce peuple de femmes , qu'ils se passaient des uns aux autres , en luttant de hâte . L'heure était venue du branle formidable de l'après midi , quand la machine surchauffée , menait la dance des clientes et leur tirait l'argent de la chair . A la soie surtout , une folie soufflait , le Paris _ Bonheur ameutait une foule telle , que , pendant plusieurs minutes , Hutin ne put faire un pas; et Henriette , suffoquée , ayant levé les yeux , aperçut en haut de l'escalier Mouret , qui revenait toujours à cette place , d'ou il voyait la victoire . Elle sourit , espérant qu'il descendrait la dégager . Mais il ne la distinguait même pas dans la cohue , il était encore avec Vallagnosc , occupé à lui montrer la maison , la face rayonnante de triomphe . Maintenant , la trépidation intérieure étouffait les bruits du dehors ; on n'entendait plus ni le roulement des fiacres , ni le battement des portières ; il ne restait , au - delà du grand murmure de la vente , que le sentiment de Paris immense d'une immensité qui toujours fournirait des acheteuses . Dans l'air immobile , ou l'étouffement du calorifère , attiédissait l'odeur des étoffes , le brouhaha augmentait , fait de tous les bruits , du piétinement continu des mêmes phrases cent fois répétées autour des comptoirs , de l'or sonnant sur le cuivre des caisses assiégées par une bousculade de porte - monnaie , des paniers roulants dont les charges de paquets tombaient sans relâche dans les caves béantes .