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Ah, lorsqu'on se promène dans les grands boulevards de cette immense cité de l'an 2077, on ne peut comprendre les énormes changements qui ont été opérés depuis le début de ce siècle en matière d'architecture urbaine.
Pensez donc ! Les villes de Brazilia ou Chandernagor du 20 è siècle, des réussites architecturaux exemplaires paraissent en cette année ressembler à des constructions des âges obscures.
Arrêtons-nous d'abord, en ce matin ensoleillé d'été, aux abords des artères principales: tout a été pensé pour vous rendre l'existence la plus facile possible. Se promener sans craindre de se faire renverser par un moyen de locomotion est l'une des choses les plus visibles. Les grandes artères ont été conçues de sorte que chaque circulation n'empiète pas sur une autre. Les véhicules, désormais électriques, circulent sur des section de voies bien identifiées, comme les vélomoteurs électriques également ou les bicyclettes. Que dire de certains automobiles qui avancent sur coussin d'air. Etonnant, non ? Pas de nos jours en tout cas, ce qui est une réalité technique.
Les normes environnementales ont été revues: pas d'immeuble, pas de maison, pas d'édifice, pas de gratte-ciel sans son complément de végétation dense. La plupart des constructions produisent maintenant leur propre électricité, leur propre lumière, les panneaux solaires ayant été perfectionnés. Il est ainsi des poteaux électriques des bornes de stationnement et d'un grand nombre de dispositif électrique. Les centrales nucléaires ayant été fermées les unes après les autres, l'énergie éolienne , les usines marémotrices, les petits barrages régionaux fournissent désormais l'énergie utile à la ville.
On ne trouve plus de véritables concentrations urbaines à la manière des conurbations mais plutôt des sortes d'îlots habités qui se rejoignent par des systèmes de maçonnerie et de métal pour former des ensembles urbains cohérents. Des tours à perte de vue, les petits pavillons comme nos maisons de campagne d'autrefois ont presque disparu ! Tout se fait désormais autour des grandes cités urbaines. Travailler à 300 kms de chez soi est monnaie courante, les systèmes de communications comme les trains sur coussin d'air font merveille. Les transports en commun d'une qualité technologique extraordinaire ont largement remplacé les véhicules individuels dans certaines villes où leur circulation a été interdite. L'air est devenu extraordinairement respirable. On n'a plus cette curieuse sensation d'étouffer au sortir des tours et des bureaux comme dans les décennies précédentes. Les nouvelles techniques permettent d'embarquer et de descendre avec la plus sécurité et la plus grande vitesse. Des services de vélos électriques ne sont plus des objets rares pour effectuer un simple établissement. En conséquence, l'absence notable de bruit de circulation vient renforcer ce sentiment de paix intérieure
Les grands centres commerciaux, toujours en mouvement, toujours vivants en permanences sont devenus des lieux de promenade, de vie, de consommation durable, de villégiature intérieure, de formation, d'administration et de bureaux, à telle enseigne qu'il maintenant difficile de distinguer la cité proprement dite et ses activités débordantes des autres services qui gèrent le bien-être de la collectivité.
Se promener dans ces immenses couloirs que sont devenus les rues, les avenues, les boulevards est un plaisir enchanteur permanent. Il suffit de lever un peut la tête pour distinguer ces fameux jardins suspendus, de véritables parcs aériens qui entraînent au loin votre esprit. Même si le béton a presque tout remplacé, il est devenu plus humanisé, plus adouci, plus apprivoisé. Des procédés récents en ont fait des matériaux adaptés au respect de l'environnement, souci majeur des gouvernants.
Des bassins d'eau apportent leur part de fraîcheur estivale qui effleure quand la canicule s'élève. Des arbres tropicaux fruitiers multicolores ont été acclimatés sous nos latitudes grâce aux travaux remarquables des agronomes. Certains fruit exotiques ne le sont plus.
La nuit, la magie des trottoirs éclairés par l'énergie accumulée durant le jour transforme les boulevards en lieux de féerie.
Eloge poétique: ensemble de glorification d'un lieu , d'une chose, d'une personne de façon imagée, lyrique, sublime.
Déambulation poétique: marche, flânerie, promenade romantique, idéale...
Pensez donc ! Les villes de Brazilia ou Chandernagor du 20 è siècle, des réussites architecturaux exemplaires paraissent en cette année ressembler à des constructions des âges obscures.
Arrêtons-nous d'abord, en ce matin ensoleillé d'été, aux abords des artères principales: tout a été pensé pour vous rendre l'existence la plus facile possible. Se promener sans craindre de se faire renverser par un moyen de locomotion est l'une des choses les plus visibles. Les grandes artères ont été conçues de sorte que chaque circulation n'empiète pas sur une autre. Les véhicules, désormais électriques, circulent sur des section de voies bien identifiées, comme les vélomoteurs électriques également ou les bicyclettes. Que dire de certains automobiles qui avancent sur coussin d'air. Etonnant, non ? Pas de nos jours en tout cas, ce qui est une réalité technique.
Les normes environnementales ont été revues: pas d'immeuble, pas de maison, pas d'édifice, pas de gratte-ciel sans son complément de végétation dense. La plupart des constructions produisent maintenant leur propre électricité, leur propre lumière, les panneaux solaires ayant été perfectionnés. Il est ainsi des poteaux électriques des bornes de stationnement et d'un grand nombre de dispositif électrique. Les centrales nucléaires ayant été fermées les unes après les autres, l'énergie éolienne , les usines marémotrices, les petits barrages régionaux fournissent désormais l'énergie utile à la ville.
On ne trouve plus de véritables concentrations urbaines à la manière des conurbations mais plutôt des sortes d'îlots habités qui se rejoignent par des systèmes de maçonnerie et de métal pour former des ensembles urbains cohérents. Des tours à perte de vue, les petits pavillons comme nos maisons de campagne d'autrefois ont presque disparu ! Tout se fait désormais autour des grandes cités urbaines. Travailler à 300 kms de chez soi est monnaie courante, les systèmes de communications comme les trains sur coussin d'air font merveille. Les transports en commun d'une qualité technologique extraordinaire ont largement remplacé les véhicules individuels dans certaines villes où leur circulation a été interdite. L'air est devenu extraordinairement respirable. On n'a plus cette curieuse sensation d'étouffer au sortir des tours et des bureaux comme dans les décennies précédentes. Les nouvelles techniques permettent d'embarquer et de descendre avec la plus sécurité et la plus grande vitesse. Des services de vélos électriques ne sont plus des objets rares pour effectuer un simple établissement. En conséquence, l'absence notable de bruit de circulation vient renforcer ce sentiment de paix intérieure
Les grands centres commerciaux, toujours en mouvement, toujours vivants en permanences sont devenus des lieux de promenade, de vie, de consommation durable, de villégiature intérieure, de formation, d'administration et de bureaux, à telle enseigne qu'il maintenant difficile de distinguer la cité proprement dite et ses activités débordantes des autres services qui gèrent le bien-être de la collectivité.
Se promener dans ces immenses couloirs que sont devenus les rues, les avenues, les boulevards est un plaisir enchanteur permanent. Il suffit de lever un peut la tête pour distinguer ces fameux jardins suspendus, de véritables parcs aériens qui entraînent au loin votre esprit. Même si le béton a presque tout remplacé, il est devenu plus humanisé, plus adouci, plus apprivoisé. Des procédés récents en ont fait des matériaux adaptés au respect de l'environnement, souci majeur des gouvernants.
Des bassins d'eau apportent leur part de fraîcheur estivale qui effleure quand la canicule s'élève. Des arbres tropicaux fruitiers multicolores ont été acclimatés sous nos latitudes grâce aux travaux remarquables des agronomes. Certains fruit exotiques ne le sont plus.
La nuit, la magie des trottoirs éclairés par l'énergie accumulée durant le jour transforme les boulevards en lieux de féerie.
Eloge poétique: ensemble de glorification d'un lieu , d'une chose, d'une personne de façon imagée, lyrique, sublime.
Déambulation poétique: marche, flânerie, promenade romantique, idéale...
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