Depuis la mort de nos femmes,nous vivions dans le deuil le plus austère en proie a de terribles tourments. Nous étions résolus à en finir.Quand minuit sonna, à la lueur de la lune,nous nous rendions au cimetière et nous dirigeions vers un immense sépulcre de marbre dressé en son centre.Nous forçames la grille ornée de silhouettes grimacantes et entrâmes.A notre grande surprise,les cercueils étaient ouvert.Nous voyames ,entre les plis écartés du linceul,plus livide que jamais le visage de nos femmes .nous ne pumes nous empecher de proférer,au sein méme de ce sanctuaire,des horribles blasphèmes.
voilà ma version il y a sûrement des chose fausse mais tu aura quelques chose à rendre et la plus part de mes phrases sont je pense correct.
