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Bonsoir,
Je les avais pourtant prévenus qu'ils allaient être surpris mais il n'ont pas voulu me croire alors j'ai raconté mon histoire : il était 18 h 30 et cette fois je n'allais pas me laisser faire, il n'a allait pas le toucher j’étais déterminée à ne pas me le laisser faire, cela se voyait sur lui qu'il était en colère mais moi aussi j’étais en colère ! Mais ma colère envers lui était justifiée, car il était horrible, sans cœur, effrayant et sans pitié. Il était déterminé à le faire et on ne pouvait que voir dans ses yeux cette colère qui me faisait si peur ; je voulais courir pour m’évader mais je ne pouvais pas car il n'y avait aucune issue possible pour s’enfuir, alors je perdais tout espoir de possibilité de m’évader. Il s'est ensuite tenu vers moi, mais mon cœur se serrait à l’idée de le voir faire sans que je ne puisse me défendre, puis je me suis levée pour me débattre et je lui ai donné des coups partout, dans l’œil, dans le ventre, et pourtant j'avais l'impression qu'il ne sentait pas les coups que je lui donnais alors je me suis mise à pleurer, à crier, à gigoter pour qu'on me vienne en aide, mais non, personne n'intervenait , je ne me suis cependant pas découragée, j'ai continué à crier : "Au-secours ! Aidez-moi !" mais cela ne l'a quand même pas empêché de faire ce qu'il avait décidé, de me voler cette partie de moi sur laquelle je tenais tant, il a coupé avec une paire de ciseaux ce pauvre bout de papier sur lequel je voulais simplement écrire mon prénom.
Je les avais pourtant prévenus qu'ils allaient être surpris mais il n'ont pas voulu me croire alors j'ai raconté mon histoire : il était 18 h 30 et cette fois je n'allais pas me laisser faire, il n'a allait pas le toucher j’étais déterminée à ne pas me le laisser faire, cela se voyait sur lui qu'il était en colère mais moi aussi j’étais en colère ! Mais ma colère envers lui était justifiée, car il était horrible, sans cœur, effrayant et sans pitié. Il était déterminé à le faire et on ne pouvait que voir dans ses yeux cette colère qui me faisait si peur ; je voulais courir pour m’évader mais je ne pouvais pas car il n'y avait aucune issue possible pour s’enfuir, alors je perdais tout espoir de possibilité de m’évader. Il s'est ensuite tenu vers moi, mais mon cœur se serrait à l’idée de le voir faire sans que je ne puisse me défendre, puis je me suis levée pour me débattre et je lui ai donné des coups partout, dans l’œil, dans le ventre, et pourtant j'avais l'impression qu'il ne sentait pas les coups que je lui donnais alors je me suis mise à pleurer, à crier, à gigoter pour qu'on me vienne en aide, mais non, personne n'intervenait , je ne me suis cependant pas découragée, j'ai continué à crier : "Au-secours ! Aidez-moi !" mais cela ne l'a quand même pas empêché de faire ce qu'il avait décidé, de me voler cette partie de moi sur laquelle je tenais tant, il a coupé avec une paire de ciseaux ce pauvre bout de papier sur lequel je voulais simplement écrire mon prénom.
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