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Je garde un souvenir très vif de Mr. NOMDEFAMILLE. C'était quand j'avais sept ans; je jouais dans la salle de séjour quand un grand monsieur est entré. Il était large d'épaules, baraqué, il avait les cheveux coupés à ras, parsemés de poils blancs. Il portait la moustache. Il avait l'air d'avoir un peu plus de quarante ans, mais il était tellement plus impressionnant que mon père. D'ailleurs, celui-ci semblait le craindre : dès que maman lui avait ouvert la porte, il avait accouru avec une mine respectueuse, la main tendue pour serrer celle du monsieur. L'homme le salua d'une voix bourrue, tout comme il le fit avec maman, puis se retourna vers moi avant de demander à papa si j'étais son fils, en me fixant d'une façon qui me mettait mal a l aise. papa confirma; pourquoi ne l'aurait-il pas fait ?
Il s'approcha de moi pour me serrer la main à moi aussi. Sa poigne était sèche, et la peau de sa main était calleuse. Ses ongles étaient soigneusement taillés. Cependant, ce n'est pas ce qui attirait le plus mon attention; c'était son regard. Il avait les yeux d'un bleu electrique, et il me fixait d'un regard dur comme le fer, dur comme la glace. Comme si nous nous connaissions et que je lui avais fait du mal. J'étais petit à l'époque : j'ai pensé que peut etre je ne lui plaisait pas. J'ai retiré ma petite main et l'ai mise derriere mon dos, mais il continuait à me fixer d'un regard froid. Evidemment, je finis par prendre peur : je m'en retournais a mes petites voitures. Après quelques secondes, il alla vers papa. Je les entendais discuter d'une voix calme dans la salle à manger. Quand il fut parti, mon papa m'apprit que ce monsieur haïssait les enfants, de tout son être. Je ne me posait pas de questions à cette époque. Il m'a aussi dit que c'était son patron; d'ailleurs, il fut renvoyé de son travail quelques moi plus tard. J'en ai rêvé plusieurs nuits après. C'était vraiment horrible, la mechanceté dans son regard.
j'espere que ca fera l'affaire ! je sais pas pk c'est en gras
Il s'approcha de moi pour me serrer la main à moi aussi. Sa poigne était sèche, et la peau de sa main était calleuse. Ses ongles étaient soigneusement taillés. Cependant, ce n'est pas ce qui attirait le plus mon attention; c'était son regard. Il avait les yeux d'un bleu electrique, et il me fixait d'un regard dur comme le fer, dur comme la glace. Comme si nous nous connaissions et que je lui avais fait du mal. J'étais petit à l'époque : j'ai pensé que peut etre je ne lui plaisait pas. J'ai retiré ma petite main et l'ai mise derriere mon dos, mais il continuait à me fixer d'un regard froid. Evidemment, je finis par prendre peur : je m'en retournais a mes petites voitures. Après quelques secondes, il alla vers papa. Je les entendais discuter d'une voix calme dans la salle à manger. Quand il fut parti, mon papa m'apprit que ce monsieur haïssait les enfants, de tout son être. Je ne me posait pas de questions à cette époque. Il m'a aussi dit que c'était son patron; d'ailleurs, il fut renvoyé de son travail quelques moi plus tard. J'en ai rêvé plusieurs nuits après. C'était vraiment horrible, la mechanceté dans son regard.
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