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Bonjour,
Pour éviter cette typologie d’erreurs, les enseignants et les apprenants doivent jouer des rôles déterminants. Ils doivent respecter le contrat d’apprentissage. Du côté des enseignants, c’est à eux d’enseigner aux apprenants les règles grammaticales. Du côté des apprenants c’est à eux d’acquérir des connaissances sur la morphologie de la langue étrangère, ainsi qu’apprendre les règles fournies par l’enseignant ou en lisant la grammaire et de bons ouvrages.
Dans ce deuxième chapitre, nous avons présenté tous les types des difficultés lexicales, morphologiques et syntaxiques en les illustrant par des exemples. Nous avons essayé de montrer les erreurs que les élèves peuvent commettre dans leurs productions écrites. En outre, nous avons présenté la place qu'occupait la grammaire dans les différentes méthodologies de l’enseignement - apprentissage pour tenir compte des résultats obtenus à travers chaque méthodologie.
Dans le chapitre suivant nous allons présenter les erreurs commises par les élèves, les stratégies d’amélioration et les résultats obtenus à la fin.
La grammaire occupait une place d’excellence dans la méthodologie traditionnelle. Elle était appelée aussi la méthodologie de grammaire traduction. La grammaire était enseignée de manière déductive (d’abord nous présentions la règle et après nous l’appliquions dans les différents exercices). Aussi, dans cette méthodologie, nous utilisions beaucoup le métalangages grammaticaux. Pour les élèves, la compétence grammaticale était limitée et les phrases (les textes) utilisées en classe de FLE étaient artificielles.
La grammaire naturelle s’est développée vers la fin du XIX siècle. Cette méthode ne mettait pas d’accent en grammaire. En général la langue était plutôt orale. Dans cette méthode la langue s’apprenait à travers l’écoute et l’imitation.
La méthodologie directe s’apposait à la méthodologie traditionnelle. Dans la méthodologie directe, la grammaire était inductive (nous n’apprenions pas la règle et ensuite nous passions aux exercices mais nous essayions de trouver la règle à travers les exemples) et sans passer par l’intermédiaire de la langue maternelle. Les exercices les plus privilégiés concernaient les questions-réponses et de la conversation, toujours dirigés par l’enseignant.
L’enseignement de la grammaire était assoupi dans cette méthodologie qui a eu son développement durant les années 1920 jusqu’aux années 1960. Dans la méthodologie active on utilisait une démarche inductive qui privilégiait la morphologie sur la syntaxe. L’enseignement de la grammaire on le faisait en répétant les structures.
La méthodologie audio-orale a donné importance aux exercices oraux de répétition. La langue était considérée comme un réseau de structures syntaxique à apprendre par cœur. La grammaire était implicite.
La méthodologie interdisait les explications grammaticales et les règles devraient être utilisées de façon intuitive par l’apprenant, donc, sans l’intermédiaire des règles. Les exercices qui étaient utilisés étaient structuraux. L’enseignant avait comme devoir de faciliter aux élèves l’apprentissage de la grammaire implicitement.
Dans cette approche la grammaire (la compétence grammaticale) fait partie d’une compétence plus globale : la compétence communicative. Cette approche ne tenait pas compte seulement de la connaissance des règles grammaticales de la langue étrangère mais il fallait aussi connaitre les règles d’emploi de ces règles. P.ex. Quelles formes linguistiques employer dans une situation donnée, avec quelle personne. On utilisait le métalangage. L’élève formulait les règles grammaticales en utilisant des termes déjà connus.
Dans l’approche communicative, la grammaire s’intéresse à la communication. Pour répondre à une question posée par l’enseignant, l’approche communicative donnait à l’apprenant la possibilité de choisir la structure désirée par lui avec la condition que le message soit le même.
L’approche actionnelle situe l’enseignement de la grammaire dans la perspective de la pédagogie des tâches. On préférait la grammaire implicite et on se basait sur l’interaction. Donc, l’enseignement de la grammaire exigeait l’acquisition d’une compétence de communication à travers les tâches.
En tenant compte du travail effectué malgré les difficultés des élèves du niveau B1, on va se concentrer dans la première et deuxième année du lycée (dans ces classes il peut y avoir des élèves du niveau A2). Leur niveau est très hétérogène. Il y a un grand décalage entre le niveau des garçons et celui des filles. Cela, parce que chacun d’eux a différentes priorités dans la vie, loin de la langue française.
Pour éviter cette typologie d’erreurs, les enseignants et les apprenants doivent jouer des rôles déterminants. Ils doivent respecter le contrat d’apprentissage. Du côté des enseignants, c’est à eux d’enseigner aux apprenants les règles grammaticales. Du côté des apprenants c’est à eux d’acquérir des connaissances sur la morphologie de la langue étrangère, ainsi qu’apprendre les règles fournies par l’enseignant ou en lisant la grammaire et de bons ouvrages.
Dans ce deuxième chapitre, nous avons présenté tous les types des difficultés lexicales, morphologiques et syntaxiques en les illustrant par des exemples. Nous avons essayé de montrer les erreurs que les élèves peuvent commettre dans leurs productions écrites. En outre, nous avons présenté la place qu'occupait la grammaire dans les différentes méthodologies de l’enseignement - apprentissage pour tenir compte des résultats obtenus à travers chaque méthodologie.
Dans le chapitre suivant nous allons présenter les erreurs commises par les élèves, les stratégies d’amélioration et les résultats obtenus à la fin.
La grammaire occupait une place d’excellence dans la méthodologie traditionnelle. Elle était appelée aussi la méthodologie de grammaire traduction. La grammaire était enseignée de manière déductive (d’abord nous présentions la règle et après nous l’appliquions dans les différents exercices). Aussi, dans cette méthodologie, nous utilisions beaucoup le métalangages grammaticaux. Pour les élèves, la compétence grammaticale était limitée et les phrases (les textes) utilisées en classe de FLE étaient artificielles.
La grammaire naturelle s’est développée vers la fin du XIX siècle. Cette méthode ne mettait pas d’accent en grammaire. En général la langue était plutôt orale. Dans cette méthode la langue s’apprenait à travers l’écoute et l’imitation.
La méthodologie directe s’apposait à la méthodologie traditionnelle. Dans la méthodologie directe, la grammaire était inductive (nous n’apprenions pas la règle et ensuite nous passions aux exercices mais nous essayions de trouver la règle à travers les exemples) et sans passer par l’intermédiaire de la langue maternelle. Les exercices les plus privilégiés concernaient les questions-réponses et de la conversation, toujours dirigés par l’enseignant.
L’enseignement de la grammaire était assoupi dans cette méthodologie qui a eu son développement durant les années 1920 jusqu’aux années 1960. Dans la méthodologie active on utilisait une démarche inductive qui privilégiait la morphologie sur la syntaxe. L’enseignement de la grammaire on le faisait en répétant les structures.
La méthodologie audio-orale a donné importance aux exercices oraux de répétition. La langue était considérée comme un réseau de structures syntaxique à apprendre par cœur. La grammaire était implicite.
La méthodologie interdisait les explications grammaticales et les règles devraient être utilisées de façon intuitive par l’apprenant, donc, sans l’intermédiaire des règles. Les exercices qui étaient utilisés étaient structuraux. L’enseignant avait comme devoir de faciliter aux élèves l’apprentissage de la grammaire implicitement.
Dans cette approche la grammaire (la compétence grammaticale) fait partie d’une compétence plus globale : la compétence communicative. Cette approche ne tenait pas compte seulement de la connaissance des règles grammaticales de la langue étrangère mais il fallait aussi connaitre les règles d’emploi de ces règles. P.ex. Quelles formes linguistiques employer dans une situation donnée, avec quelle personne. On utilisait le métalangage. L’élève formulait les règles grammaticales en utilisant des termes déjà connus.
Dans l’approche communicative, la grammaire s’intéresse à la communication. Pour répondre à une question posée par l’enseignant, l’approche communicative donnait à l’apprenant la possibilité de choisir la structure désirée par lui avec la condition que le message soit le même.
L’approche actionnelle situe l’enseignement de la grammaire dans la perspective de la pédagogie des tâches. On préférait la grammaire implicite et on se basait sur l’interaction. Donc, l’enseignement de la grammaire exigeait l’acquisition d’une compétence de communication à travers les tâches.
En tenant compte du travail effectué malgré les difficultés des élèves du niveau B1, on va se concentrer dans la première et deuxième année du lycée (dans ces classes il peut y avoir des élèves du niveau A2). Leur niveau est très hétérogène. Il y a un grand décalage entre le niveau des garçons et celui des filles. Cela, parce que chacun d’eux a différentes priorités dans la vie, loin de la langue française.
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