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I) Le premier quatrain :
1er vers : deux propositions indépendantes juxtaposées : introduit son analyse de l’amour. « Je » première personne du singulier : Ronsard se place dès le départ dans le lyrisme« espère et crain » : la conjonction de coordination relève deux antithèses dans la première hémisticheVers coupés selon un ryhtme binaire 4//6 : tient du sonnet à la française et sur le modèle de Ronsard du décasyllabe Ronsard va parler de sa vision des amours. Deuxième hémistiche du vers déterminant personnel « me » redouble le « je » on est dans l’intérieur et dans l’analyse de soi : « tais »/ « supplie » : opposition basée sur la parole : deux voix contraires vont s’opposer dans le poème + Ronsard partagé dans ce sentiment.Dès le premier vers du premier quatrain principe d’une description d’un moi agité par des contradictions qui le troublent et qui révèlent la complexité des passions création d’un modèle repris par Louise Labé (comme une réponse) dans « Je vis, je meurs » en 1555. 3 autres vers : construit sur la même forme 2 propositions indépendantes coordonnées par « et » liaison, 2 phénomènes qui se font en même temps balayé d’éléments contraires V2 : opposition « être glace » / « feu chaud » rythme montre un ralentissement sur « suis/glace »: allitération en ‘s’ alors que c’est précédé d’un «or » bref : contradiction dans« je», rythme en 4 temps. La deuxième hémistiche est composées d’un pléonasme «feu/chaud » qui renforce l’idée de chaleur suggéré par le son «o »
(Voici une première partie de ton plan pour t'aider, à toi de continuer, bon courage !)
1er vers : deux propositions indépendantes juxtaposées : introduit son analyse de l’amour. « Je » première personne du singulier : Ronsard se place dès le départ dans le lyrisme« espère et crain » : la conjonction de coordination relève deux antithèses dans la première hémisticheVers coupés selon un ryhtme binaire 4//6 : tient du sonnet à la française et sur le modèle de Ronsard du décasyllabe Ronsard va parler de sa vision des amours. Deuxième hémistiche du vers déterminant personnel « me » redouble le « je » on est dans l’intérieur et dans l’analyse de soi : « tais »/ « supplie » : opposition basée sur la parole : deux voix contraires vont s’opposer dans le poème + Ronsard partagé dans ce sentiment.Dès le premier vers du premier quatrain principe d’une description d’un moi agité par des contradictions qui le troublent et qui révèlent la complexité des passions création d’un modèle repris par Louise Labé (comme une réponse) dans « Je vis, je meurs » en 1555. 3 autres vers : construit sur la même forme 2 propositions indépendantes coordonnées par « et » liaison, 2 phénomènes qui se font en même temps balayé d’éléments contraires V2 : opposition « être glace » / « feu chaud » rythme montre un ralentissement sur « suis/glace »: allitération en ‘s’ alors que c’est précédé d’un «or » bref : contradiction dans« je», rythme en 4 temps. La deuxième hémistiche est composées d’un pléonasme «feu/chaud » qui renforce l’idée de chaleur suggéré par le son «o »
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