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Bonjour :)
"L'Artifice du Grand Ouvrier" (l.4)
Leibniz parlant du "Grand Ouvrier", il parle de Dieu, dont l'artifice étant sa Création, c'est-à-dire l'Homme, ou en tout cas (également plutôt) l'Être vivant. En employant cette expression, il veut faire allusion à la pensée religieuse, ou en tout cas "spirituelle", au sujet de la création de l'Homme.
"Un mouvement de certaines liqueurs qui paraît fortuit" (l.7-l.8)
Ce mouvement de certaines liqueurs n'est autre que celle qui a engendré la vie. En somme, Leibniz veut parler ici de la pensée scientifique au sujet de l'origine du mécanisme du vivant. La mention précédant la phrase expliquée ici ("se moquent des autres qui s'imaginent,..."), nous rapporte que l'auteur parle de ceux et celles qui adhèrent à cette pensée.
"Ce n'est pas Jupiter qui tonne mais quelque matière qui se trouve dans les nues" (l.11)
Par Jupiter, Leibniz évoque le Divin. Donc en reprenant la phrase avec cette considération, il est dit que ce n'est pas Dieu qui est le concepteur de l'Homme et des autres êtres vivants, mais comme dit plus haut, "un mouvement de certaines liqueurs qui paraît fortuit", une affirmation défendue par les "physiciens" mentionnés avant.
P.S : En espérant avoir pu t'éclairer,...
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