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L'émission politique se termina par la Marseillaise.
"Encore une tentative de laver le cerveau des gens, grommela Julie.
-Ça va..., rétorqua Carole en détachant son regard de la télévision pour soutenir celui de son amie. Il n'a pas tout à fait tort à propos des migrants. Ils sont bien trop nombreux, et nous le sommes déjà bien assez en France.
-Peut-être, mais est-ce une raison de les traiter comme du bétail ? Ils avaient déjà bien assez de problèmes comme ça dans leur pays d'origine ! De toute manière, il y a tant de gens qui s'insurge en voyant un homme à la peu un peu trop mate. Mais bon sang, c'est un être humain comme un autre !
-Ils ont simplement peur des étrangers. Ça se comprend, avec le terrorisme qu'il y a..."
Julie secoua la tête, comme agacée.
"Tu ne comprends donc pas ? Et ce n'est pas le seul problème avec notre société. Même à l'école : regarde un peu les élèves. Même quand tu regardes la cours pendant les récrés, on dirait que les élèves sont divisés. Chacun a un groupe. Chacun veut copier le plus célèbres. Même les sixièmes, en arrivant, deviennent des cancres juste parce que l'élève le plus connu en est un, en plus d'insolent !
-Ils veulent juste avoir une place...
-Mais quelle genre de place ce sera ? Renoncer à sa liberté de penser juste pour avoir une place dans la société ? C'est complètement ridicule, on est d'accord ?
-Tu dis "dans la société"... c'est un peu exagéré, non ?
-Mais ça aura un impact sur leur avenir !
-Allons, la société n'a pas que des mauvais côté...
-Mais presque ! Tout ça à cause du modernisme. Nous mangeons des choses qui ne devraient pas être mangeable, qui déclenchent le cancer ! Le Gouvernement nous impose ses idées en tentant de nous faire croire qu'elles sont juste et que c'est de cette manière que nous devons penser ! Et, quand quelqu'un pense différemment, on le traite comme un extraterrestre, on le laisse à part. Et ce traitement commence même à l'école !
-Tu exagères... tu vois le mal partout. Tu parles comme si il n'y avait rien de pire que la société. Mais vois-en les bons côtés : comment vivrions-nous sans société ? Nous dépendons les uns des autres.
-Nous dépendons du Gouvernement, oui ! Mais, un jour, une révolte éclatera sans doute. Cela pourrait conduire à une seconde révolution..."
Carole haussa les épaules.
"Je ne sais pas. Je pense simplement que tu es trop pessimiste sur se point.
-Pessimiste, ou réaliste ?
-Bref, poursuivit-elle en ignorant la remarque de son amie, tu es trop sévère sur la vie de notre société. Tu verras, elle n'a pas que des mauvais côtés."
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