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Bonjour,
L'éducation doit apporter la culture générale nécessaire au développement de soi-même faisant harmonie avec notre bien être. Seulement, cette culture ne suffit pas à un individu pour vivre en toute quiétude, c'est pour cela que l'éducation doit favoriser l'apprentissage à un métier.
Dans un premier temps, l'enseignement doit apporter à l'enfant les choses élémentaires qui lui serviront dans son futur professionnel. En effet, on ne peut pas apprendre le travail propre de médecin, professeur ou tout autre métier à un enfant, mais on peut lui faire étudier les bases primordiales à l'acquisition d'une profession. Il va d'ailleurs apprendre dès sa petite enfance à écrire, compter et lire qui sont trois biens indispensables à la vie. Il va apprendre des poésie qui lui feront travailler sa mémoire, ce qui lui servira dans la plupart des études. Actuellement, de nombreux enfants sont privés d'éducation dans la plupart des pays en voie de développement et sont mis sur le marché du travail des leur plus jeune âge. Or ces enfant qui n'auront pas été scolarisés seront analphabètes et auront d'autant plus de risque d'élever des enfant qui seront à leur tour atteint analphabétisme et qui auront moins de chance de trouver un métier les permettant de lutter contre la sous-nutrition. Par conséquent, la connaissance des bases qui sont apprises dès la petite école sont importante pour l'acquisition d'un métier, mais d'un métier permettant de pouvoir vivre convenablement.
Dans un deuxième temps, l'éducation permet l'apprentissage d'un métier en fonction des préférences de l'élève. Au fur et à mesure que celui-ci passe des classes, il apprend de plus en plus de choses et commence à se spécialiser en fonction de ses goûts personnels et de ses capacités. Il peut par exemple se spécialiser dans une filière scientifique, littéraire ou autres et ainsi continuer de longues études jusqu'à la faculté où la il aura d'autre choix à faire toujours en fonction de ses préférences et de ses capacités . Il a aussi le choix de débuter un apprentissage et donc d' entrer plus vite dans le monde professionnel. Dans tous les cas, la petite l'école ne commence pas l'apprentissage d'une profession propre, mais elle apprend les bases pour ensuite pouvoir commencer à se qualifier. C'est ensuite le choix de l'élève qui dépendra de la longévité de ses études.
Dans un dernier temps, l'éducation apprend aux élèves le respect de l'autre et des règles de vie en communauté, indispensable à une bonne insertion professionnelle. Les limites, les règles et les contraintes que l'on impose par la sanction sont l'essentiel de la discipline qui consiste à astreindre un enfant à l'autorité. L'acceptation des règles imposés par un supérieur est une qualité indispensable à avoir pour trouver un métier. Cependant, savoir accepter l'autorité ne signifie pas de ne pas pouvoir défendre son opinion et d'être réduit à la fonction d'esclave. Elle signifie de savoir juger le pour et le contre de nos actes et paroles afin de ne pas dépasser les limites pour ne pas rentrer dans l'impertinence, ce qui porterait préjudice à l'éducation reçue. L'enfant doit posséder un ensemble de morales qui l'accompagnera tout au long de sa vie et qui le guideront dans la voie de la sagesse. Un enfant sans limites et un enfant perdu, sans repère pour s'insérer dans la société. Nous pouvons citer par exemple un texte de Laurent Malbrunot : "une éducation sans sanction ni autorité ?".
Mais il faut contrarier les goûts dans l'éducation pour que chacun puisse rendre service à la communauté au profit de tous les individus. Pour que cela puisse se faire, chacun doit se qualifier dans sa propre profession en fonction de ses qualités et de ses envies. Il ne faut, cependant, pas se lancer dans une voie professionnelle par vocation car cela pourrait tromper. Il faut donc savoir contrarier les goûts dans l'instruction pour éventuellement découvrir de nouvelles spécialisations qui pourrait nous intéresser. Un élève déjà doué en mathématiques, devrait plutôt s'intéresser à la littérature ou aux langues et inverse pour un élève doué dans les lettres. Cela contribuerait à décharger l'élève des limites qu'il se fixe en cultivant uniquement ses préférences.
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