SUJET BREVET 3 L'appel du 18 juin 1940, Romain Gary parle de la fin des combats, par Afrique du Nord, espère que les autorités seront derrière la lutte et continueront la lutte. A peine arrivé, il semble que la difaite soit déjà acceptée. Il est la réaction de sa mère, restée à Nice. Ma Malgréa mère était outrée. Elle ne m'a pas laissée tranquille. Elle Ls'indignait, tempêtait, protestait. Je n'arrivais pas à la calmer. Elle s'en est mêlée dans chaque globule de mon chant, s'indignait et se révoltait dans chaque battement de mon cœur et me tenait éveillé la nuit, moi harcelant, je suis sommant de faire quelque chose. Je détournais les yeux de son visage, pour essayer de ne plus voir cette expression d'incompréhension scandalisée devant compliqué nouvellement, pour qu'elle soit défendue, comme si elle était choisie. C'est en vain que les suppléments de ma famille, de me laisser souffler, de mes patients, de me faire confiance, je me sentais bien même. The distance is we a we have all, on a allumé, on a déjà quitté un seul instant pendant ces heures terribles. Mais elle était scandalisée, profondément béni par le refus de l'Afrique du Nord à répondre à son appel. 'appel du général de Gaulle du 18 juin 1940 au procès-verbal de la lutte. Sans vouoir comme compliquer la tiche des historiens, je tiens à dire que l'appel de la poursuite du combat se trouve le 15 ou le 16 juin -au moins deux jours avant '. De nombreux témoignages existants sur le point de vente et aujourd'hui. ...] Jamais sa présence n'a été plus réelle pour moi, plus physique, que pendant z0 ces longues heures passées à errer sans mais à travers la médina de Meknè, dans cette foule arabe qui me dépaysait si complèment, avec ses couleurs, ses Bruits, ses odeurs, et à essayer d'oublier ce n'est qu'un instant, sous cette vague soudaine d'exotisme qui déferlait sur moi, la voix de mon sang qui ne s'appelait pas au combat avec une grandiloquence insupportable , s'en- flant de tous les clichés aux plus usés du répertoire patriotard. ROMAIN GARY, Les Promes de Toube, troisième partie, chapitre 32, éditions Gallimard, 1960. L'auteur est joint par téléphone, par sa mère, qui lui a reproché son manque d'implication et de patriotisme.Après avoir présenté la situation de départ dans une cour narrative, imaginez le dialogue entre Gary et sa mère, à propos de Appel du 18 juin du général de Gaulle.Vous de de soin prendrez les characters des acception deux personnages, tells in the apparaissent Qu'ils texte étudié.Vous insisterez sur les sentiments par le each et vous respecterez la cohérence historique. Merci

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BREVET

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SUJET BREVET 3 L'appel du 18 juin 1940, Romain Gary parle de la fin des combats, par Afrique du Nord, espère que les autorités seront derrière la lutte et continueront la lutte. A peine arrivé, il semble que la difaite soit déjà acceptée. Il est la réaction de sa mère, restée à Nice. Ma Malgréa mère était outrée. Elle ne m'a pas laissée tranquille. Elle Ls'indignait, tempêtait, protestait. Je n'arrivais pas à la calmer. Elle s'en est mêlée dans chaque globule de mon chant, s'indignait et se révoltait dans chaque battement de mon cœur et me tenait éveillé la nuit, moi harcelant, je suis sommant de faire quelque chose. Je détournais les yeux de son visage, pour essayer de ne plus voir cette expression d'incompréhension scandalisée devant compliqué nouvellement, pour qu'elle soit défendue, comme si elle était choisie. C'est en vain que les suppléments de ma famille, de me laisser souffler, de mes patients, de me faire confiance, je me sentais bien même. The distance is we a we have all, on a allumé, on a déjà quitté un seul instant pendant ces heures terribles. Mais elle était scandalisée, profondément béni par le refus de l'Afrique du Nord à répondre à son appel. 'appel du général de Gaulle du 18 juin 1940 au procès-verbal de la lutte. Sans vouoir comme compliquer la tiche des historiens, je tiens à dire que l'appel de la poursuite du combat se trouve le 15 ou le 16 juin -au moins deux jours avant '. De nombreux témoignages existants sur le point de vente et aujourd'hui. ...] Jamais sa présence n'a été plus réelle pour moi, plus physique, que pendant z0 ces longues heures passées à errer sans mais à travers la médina de Meknè, dans cette foule arabe qui me dépaysait si complèment, avec ses couleurs, ses Bruits, ses odeurs, et à essayer d'oublier ce n'est qu'un instant, sous cette vague soudaine d'exotisme qui déferlait sur moi, la voix de mon sang qui ne s'appelait pas au combat avec une grandiloquence insupportable , s'en- flant de tous les clichés aux plus usés du répertoire patriotard. ROMAIN GARY, Les Promes de Toube, troisième partie, chapitre 32, éditions Gallimard, 1960. L'auteur est joint par téléphone, par sa mère, qui lui a reproché son manque d'implication et de patriotisme.Après avoir présenté la situation de départ dans une cour narrative, imaginez le dialogue entre Gary et sa mère, à propos de Appel du 18 juin du général de Gaulle.Vous de de soin prendrez les characters des acception deux personnages, tells in the apparaissent Qu'ils texte étudié.Vous insisterez sur les sentiments par le each et vous respecterez la cohérence historique. Merci

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