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« Les lapins » : c’est le surnom donné par les détenues françaises aux 86 victimes sur lesquelles le professeur Gebhardt à partir de la fin juillet 1942 pratiqua des séries d’expériences pseudo-médicales. N’ayant pu sauver Heydrich, il cherchait à se réhabiliter aux yeux d’Hitler en montrant l’inutilité des sulfamides dans le traitement de blessures. Il utilisa les Polonaises comme cobayes en leur inoculant par exemple la gangrène gazeuse, le tétanos ...
j'espère avoir aidé !
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