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J. Y. DELRCE est reporter pour une chaîne de télévision. Il travaille pour ce journal très important au sein de la chaîne, car il génère beaucoup d'audience et donc de recettes
Lui, se trouve dans au cœur d’un conflit militaire, dans une ville fictive .
Son travail est rendre compte du conflit, de son évolution, de là où ça pète, :
C'est pourquoi les dirigeants de la chaîne vont l'interpeller sur le fait que l'audience baisse depuis quelques mois, et le nombre de téléspectateurs aussi donc il faut réagir
Et comme il dit des dirigeants « ils ne parlent pas avec des mots mais avec des chiffres », ils sont moins intéressés par la qualité des reportages, des programmes. Seule compte l’audience, les parts de marché, l'origine socio-professionnelles des téléspectateurs.
Mais voilà DELORCE ne pense son métier de journaliste ainsi. Il désapprouve même la façon de travailler de certains de ses confrères de la chaîne concurrente qui fonctionnent ainsi. Il les appelle les « cow boys qui profitent d’un convoi de l’ONU pour faire leurs reportages bidons en trois minutes.
Alors pour lui, c'est une vision rétrécie et fausse car pas le reflet de la réalité de la guerre, juste des fragments. Donc on ment aux
téléspectateurs. Ainsi ni ces journalistes ni le public ne sait les causes, les raisons du conflit et le dénouement réel de la guerre. Pour lui, c.est de la fabrication de reportages, qui font appel au sensationnel, pour marquer le télespectacteurs, et sont contraires à toutes les déontologies du journalisme.
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