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Ça faisait très longtemps que je ne partais pas en vacances, car mes parents n’avaient pas assez d’argent. Je vivais dans cette immense ville où pendant mes vacances j’aidais mon père dans son travail. Il avait un petit magasin où il reparait des voitures.
Un jour mes parents m’ont fait une surprise en me disant que j’allais voyager chez mon oncle, pendant mes vacances, pour une durée de quinze jours. J’étais très content car ça faisait un peu près dix ans que je n’avais pas voyager, et maintenant j’avais dix-huit ans.
Quand enfin le moment de partir arriva je fis mes bagages et allais à l’aéroport avec mes parents qui m’accompagnaient pour me saluer et m’embrasser avant que je quitte Paris en route pour l’Espagne.
Quand je suis arrivé à l’aéroport d’Espagne je me dis que j’aurais surement de très bonnes vacances.
Je pris mes bagages et puis je vis un homme long avec les cheveux noirs et des lunettes, portant un panneau avec mon prénom et mon nom gravé dessus, j’ai tout de suite compris que c’était mon oncle. Comme je ne l’avais jamais vu avant donc je ne le connaissais pas. Je courus vers lui, l’embrassai et puis nous allâmes dans la voiture noire et grande, c’était un chauffeur qui nous a conduit à la maison. Pendant toute la route nous n’avons pas arrêté de discuter ensemble et puis quand nous arrivâmes à la maison je me dis que mon oncle était surement un homme riche car la maison ressemblait à un château, elle avait deux statues de lions qui sortaient de l’eau de leurs bouches et la porte de la maison était gigantesque, quand nous franchisâmes le seuil de la maison, mon oncle fit quelque chose sur son portable et deux femmes apparurent en ouvrant la porte.
Quand je suis entré dans la maison, je fus stupéfait, c’était immense, elle avait un très grand salon et de la fenêtre je voyais un immense jardin avec une piscine gigantesque. Cette maison semblait très moderne, on pouvait dire ça grâce aux décors, a la couleur de la peinture des murs, et aussi des œuvres accrocher aux murs, j’avais hâte de monter dans ma chambre car, je sentis un affreux enthousiasme me battre après avoir vu cette richesse.
Une de ces femmes me salua et me fit signe de la suivre pour aller à ma chambre, quand j’attira le seuil de ma chambre enfin après une longue monte d’environ cinquante marches. J’entrai dans la chambre, elle avait un grand lit qui semblait très confortable, une grande armoire, un placard entassé de livres et une porte que j’ouvris et trouvais les toilettes et la salle de bain.
Maintenant j’étais sûr que mon oncle était riche !
Je pris une douche chaude, puis je descendis pour voir mon oncle, mais je ne le trouvais pas alors je demandai à une des femmes où était-il passé, alors elle me dit qu’il était allé faire des courses.
Je suis monté dans ma chambre et pris un des bouquins posés sur le placard, c’était un livre avec une couverture rouge foncé écrite dessus le titre avec une couleur dorée, quand j’ai ouvert le livre une misère de poussière est sorti du livre on aurait dit que ce livre n'avait pas était ouvert depuis une cinquantaine d’années, mais je le lus quand même. Pendant que le lisais je trouvai une page sur laquelle était écrit “ dit au revoir à ta vie “ d’une couleur rouge sang on aurait dit du sang frais. Je fermai le livre et j’essayai de m’échapper de cette chambre angoissante mais la porte était verrouillée.
J’essayai de me remonter le moral en me disant que peut-être les personnes habitants dans cette maison avait peut-être oublier que j’étais avec eux dans ce logement.
Je me tournai pour aller vers mon lit pour penser à ce que j’allais faire car je ne voulais pas commencer à taper sur la porte comme un enfant imbécile. Alors dès que je me dirigeai vers le lit à ma grande surprise je trouvai un couteau très fin et des gouttelettes de sang qui semblait aussi fraiche sur mon lit couvert de draps blanc ce miracle était à côté du livre.
Je fermai les yeux et priai que j’aurai étais en train de rêver mais soudain j’entendis un bruit venant de dehors alors je me penchai vers la fenêtre pour voir ce qui se passait et je trouvai un hélicoptère télécommandé en train de faire le tour dans le jardin mais je ne trouvai point la personne qui le faisait bouger. Cet hélicoptère me semblait très familier car je crois que j’en un qui lui ressemblait beaucoup dans mon logement à Paris.
Soudain j’entendis la serrure de la porte s’ouvrir donc je me retournai et retrouvai mon oncle !
Je me retournai devant, derrière... moi mais je ne trouvai rien de ce que j’avais vu avant la présence de mon oncle même pas l’hélicoptère !
J’étais en choc….
Je me dis que si je racontais cette histoire à n’importe qui personne n’allait me croire et ils me prendront pour un fou.








Quelqu'un peut me dire si il y'a des fautes d'ortographe stp. Merci :)





Répondre :

réparait

Un jour, mes parents

à peu près

je n'avais pas voyagé (plus que parfait) temps composé

allai à l'aéroport (préférer le passé simple pour une action courte)

Quand je suis arrivé à l'aéroport d'E, je me dis (penser à couper les propositions par une ponctuation)

gravés (prénom et nom)

Je ne l'avais jamais vu avant donc je n'aurais pas pu le reconnaître. (mieux formulé)

qui nous conduisit (passé simple)

toute la route,

de lions , de l'eau jaillissait de leurs gueules

était gigantesque. Quand nous franchîmes

mon oncle pianota sur son téléphone

il y avait un très grand salon

à la couleur

accrochées aux murs (accord avec oeuvres)

un affreux enthousiasme me saisir

quand j'atteins le seuil!;;;longue montée

un placard d'où croulaient des livres

et une porte que j'ouvris qui donnait sur les toilettes et la salle de bain

où il était passé

rouge foncé au titre doré. Lorsque je l'ouvris, un nuage de poussière

n'avait pas été (plus que parfait)

Pendant que je lisais  

"dis au revoir...

rouge sang, on aurait...

que les habitants de la maison avaient peut-être oublié...

qui semblaient très fraîches (accord gouttes)

que j'étais en train de rêver

mais soudain j’entendis un bruit venant de dehors. Alors je me penchai vers la fenêtre pour voir ce qui se passait et je trouvai un hélicoptère télécommandé en train de faire le tour dans le jardin. Mais je ne trouvai point la personne qui le faisait bouger.

j'en avais un

Soudain,

"Je me retournai devant, derrière... moi mais je ne trouvai rien de ce que j’avais vu avant la présence de mon oncle même pas l’hélicoptère ! " (difficile de comprendre, à reformuler)

ils me prendraient (après le si, il faut un conditionnel)

Bien penser à ponctuer et se relire

Bonjour j'ai copié coller ton texte et je te met en gras les erreurs (:

Ça faisait très longtemps que je ne partais pas en vacances, car mes parents n’avaient pas assez d’argent. Je vivais dans cette immense ville ou pendant mes vacances j’aidais mon père dans son travail. Il avait un petit magasin où il reparaît des voitures.  

Un jour mes parents m’ont fait une surprise en me disant que j’allais voyager chez mon oncle, pendant mes vacances, pour une durée de quinze jours. J’étais très content car ça faisait un peu après dix ans que je n’avais pas voyagé, et maintenant j’avais dix-huit ans.  

Quand enfin le moment de partir arriva je fis mes bagages et allais à l’aéroport avec mes parents qui m’accompagnaient pour me saluer et m’embrasser avant que je quitte Paris en route pour l’Espagne.  

Quand je suis arrivé à l’aéroport d’Espagne je me dis que j’aurais surement de très bonnes vacances.  

Je pris mes bagages et puis je vis un homme long avec les cheveux noirs et des lunettes, portant un panneau avec mon prénom et mon nom gravé dessus, j’ai tout de suite compris que c’était mon oncle. Comme je ne l’avais jamais vu avant donc je ne le connaissais pas. Je courus vers lui, l’embrassai et puis nous allâmes dans la voiture noire et grande, c’était un chauffeur qui nous a conduits à la maison. Pendant toute la route nous n’avons pas arrêté de discuter ensemble et puis quand nous arrivâmes à la maison je me dis que mon oncle était surement un homme riche car la maison ressemblait à un château, elle avait deux statues de lions qui sortaient de l’eau de leurs bouches et la porte de la maison était gigantesque, quand nous franchisâmes le seuil de la maison, mon oncle fit quelque chose sur son portable et deux femmes apparurent en ouvrant la porte.  

Quand je suis entré dans la maison, je fus stupéfait, c’était immense, elle avait un très grand salon et de la fenêtre je voyais un immense jardin avec une piscine gigantesque. Cette maison semblait très moderne, on pouvait dire ça grâce aux décors, à la couleur de la peinture ...