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Bonsoir, pourriez vous me dire si ma rédac' est satisfaisante ou non SVP. Merci :)

SUJET : Décrire et raconter un moment précis d'un soldat durant un assaut, durant la Seconde Guerre Mondiale
PS : Je suis en 3e

Merci et bonne lecture :D !

Une balle m'avait atteint la jambe. Je m'écroulai soudainement sur la sol, emportant avec moi, cette douleur effrayante qui tournait ma jambe dans une ivre période. Elle était laide. Je saignais. Je souffrais. Les bruits s'éteignirent, je sentais ma lanterne partir. Les sons désenchantés des tambours me rendaient fou. Tout à coups, un mortier brandit son obus et le fit éclater sur l''orchestre. La drôle de sensation que je vécu était indescriptible. J'étais blessé, j'avais l'envie de vomir, et de fuir. Cette sensation de mourir vous tue. C'était cette sensation, la sensation constante, qui ne vous lâche pas,la mort qui vous ricanait au dos, alors que vous, en outre de ma situation, dans les bars, en faisant la fête et dérangeant la ville, la lui tournait le dos. Je me remis debout, les bottes sculptées par la boue, ayant juré ne plus jamais tomber de la sorte, repris ma chère mitrailleuse et courut m'enfouir dans ces « cases », située près du bunker pour me faire soigner. Il n'y avait personne. Seulement ces trois cadavres de soldats qui me fixaient avec la mort derrière eux, profitant de leurs lanternes éteintes à tout jamais. L'air encore plus compromis, je rentrai dans le bunker et en descendis ses marches, en me déplaçant à tâtons, et en m'accrochant à la balustrade ensanglantée des escaliers. Je devais rejoindre les autres. Des cadavres. Encore des cadavres de mes camarades, essayant de maintenir position et de faire reculer le autres. Une fois en bas, une dizaine de mes camarades maintenaient le bunker. Ils tiraient à l'aveuglette, et d'autres, soignaient les blessés. Tantôt, mes compagnons me rejoignirent. Ils couraient, l'air glorieux et fiers de nous voir. Tout à coups, une rafale indénombrable de balle surgis, des balles méchantes et haineuses qui touchèrent deux de mes frères.
De mon instinct de survie, je ripostai soudainement avec ma mitrailleuse en vidant deux chargeurs. Je visais les yeux enfouis dans un bandeau mais j'entendais des gémissement et des cris qui me satisfirent.


Répondre :

Oui franchement très bien ,corrige les fautes d'orthographe. Ya t- il un nombre de lignes précis à faire ou non ??