Répondre :
Réponse :
Je les vois, ces grands arbres, protégeant
Les rives où roucoulaient les amoureux.
Elles abritaient beaucoup d'habitants,
Mais ils allaient tous, joyeux, deux par deux.
Moi non plus, je ne faisais exception :
Le sourire aux lèvres, riant parfois.
Je marche auprès d'elle, sur le ponton ;
Je suis épanoui, si belle est sa voix.
Son chant l'anime, puis berce mon coeur.
La contemplant, je suis le plus heureux,
Son visage n'est que joie et douceur.
Je ne pourrai jamais avoir mieux.
Dès qu'elle me sourit, je suis si content,
Dès qu'elle pleure, je suis si malheureux.
Quand son rire arrive, je l'offre au vent
Pour qu'à l'amour, on ne soit plus peureux.
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