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résolu

coucou les ami(e)s, j'espère que vous allez tous bien, me revoilà avec ma lettre de Gustave Berthier. Mais cette fois j'ai un peu avancer dans mon travail. Voilà ce que j'ai écrit: Août 1914: Subissant les conditions difficiles des combats dans les tranchées: ( la boue, les rats, les poux, manque d'eau et de nourriture, le temps froid et glacial et dormir à côté de cette odeur pestilentielle dû à la décomposition des cadavres de soldats tombés aux combats), les soldats Allemands sont fatigués.
Un jeune soldat de 27 ans Alexander parla à ses frères d'armes de cette façon:
_Les gars c'est Noel aujourd'hui:
que penseriez vous de faire une trêve avec nos ennemis, en ce jour de la célébration de la naissance de Jésus?
L'un des soldats allemands répondit:
Tu crois qu'ils seraient d'accord de l'autre côté?
Alexander répondit:
On peut toujours essayer en brandissant un drapeau blanc. Qui serait d'accord pour m'accompagner sachant les risques de prendre une balle sont là?
Gunter et hans se proposèrent.
Bien les gars, disait Alexander.Maintenant les trois soldats firent un signe aux Français en agitant le drapeau,et disaient :
Nous voudrions vous parler.
Dans la tranchée adverse, c'est Gustave qui se désigna pour y aller.Gustave avança prudemment vers les trois soldats allemands.
Alexander commença à parler:
-que diriez vous d'un cesser le feu en ce jour de fête?
-Gustave répondit:

-Je suis d'accord avec vous.
Alexander répliqua:
-Seriez vous prêt à ne tirez aucun de fusil pendant vingt quatre heures.

Gustave avait promis qu'aucun coup de fusil serait tirer ce jour.Après cette promesse faîtes des deux côtés, les quatres soldats engagèrent la conversation. Les allemands disaient à Gustave qu'ils étaient fatigués de faire la guerre et qu'ils étaient mariés.Gustave disaient que pour eux c'étaient la même chose.Après les allemands et le Français s'échangèrent des présents:( journaux, cigarettes à bouts dorés,cigares).
Voilà ou je me suis arrêtée. Pouvez vous me corriger mes fautes et me dire ou se place les guillemets et les traits s'il vous plaît. Après je dois dire les émotions et les impressions que ressens Alexander.Merci à ceux qui vont m'aider et qui ont lu la lettre de Gustave Berthier.

Répondre :

TELEPHONE16VIZ

Réponse :

Bonjour

Explications :

Août 1914,

Subissant les conditions difficiles des combats dans les tranchées, telles la boue, les rats, les poux, l'absence d'eau et de nourriture, le temps froid, glacial ainsi qu'essayer de dormir, enveloppé de cette odeur pestilentielle émanant de la décomposition des cadavres des jeunes soldats tombés aux combats, les soldats Allemands sont fatigués.

Un jeune soldat de 27 ans, Alexander parla à ses frères d'armes de cette façon:

_ "Les gars, c'est Noël aujourd'hui, que pensez-vous de faire une trêve avec nos ennemis, pour célébrer la naissance de Jésus" ?

L'un des soldats répondit.

_ "Tu penses qu'ils seraient d'accord de l'autre côté" ?

Alexander répondit :

_ " On peut toujours essayer en brandissant un drapeau blanc ! Qui serait d'accord pour m'accompagner sachant que les risques de prendre une balle sont grands" ?  

Gunter et hans se proposèrent.

Alexander enchaina :

_ " Bien les gars, essayons".

Ainsi, les trois soldats firent un signe aux Français en agitant le drapeau et hurlèrent .

_ "Nous voudrions vous parler" !  

Dans la tranchée adverse, c'est Gustave qui se désigna pour y aller. Gustave avança prudemment vers les trois soldats allemands.

Alexander commença à parler:

_ " Que diriez vous d'un cesser le feu en ce jour de fête" ?

Gustave répondit :

_ " Je suis d'accord avec vous" .

Alexander répliqua:

_ " Seriez vous prêts à ne tirez aucun coup de fusil pendant vingt quatre heures" .

Gustave avait promis qu'aucun coup de fusil serait tiré ce jour là. Suite à cette promesse faîtes des deux côtés, les quatres soldats engagèrent la conversation. Les allemands disaient à Gustave qu'ils étaient fatigués de faire la guerre et qu'ils étaient mariés. Gustave raconta que pour eux c'était la même chose. Après les allemands et Gustave le français s'échangèrent des présents comme des journaux, des cigarettes à bouts dorés, et des cigares.

Ce jour de décembre resta inoubliable pour tous ceux présents. Un miracle, un goût de vie essentiel mais de courte durée.

" pour les guillemets, tu écrits ceux que nous avons l'habitude de faire.

l'alinéa doit être un peu plus grand.

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