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Réponse :
Bonjour, j'ai rédigé un commentaire de ton texte, en faisant en sorte de regrouper les idés fortes comme autant de dénominateurs communs à la totalité des personnages présentés. Je n'ai pas fait de phrase à phrase car le but d'un commentaire est de tirer une conclusions générale valable pour l'homme en général et non les exemples du texte. J'espère t'avoir aidé et au moins mis sur la route ! Bon courage
Explications :
Par le moyen de nombreux exemples, ce texte met en opposition les actes volontaires des hommes aux actes qui leurs sont imposés par les circonstances ou par d’autres hommes.
Quand l’homme prend une décision, cette décision conduit à un acte dont il acceptera les conséquences, fussent-elles difficiles car la décision initiale vient de lui ; il se l’est imposée à lui-même et en conséquence, il n’est l’esclave de personne, il agit en homme libre, agissant en conscience et avec discernement.
Cette homme ira jusqu’à considérer que la peine subie confine au bonheur et non pas au plaisir. La peine dont on dit qu’elle conduit au plaisir est une déviation masochiste très éloignée du bonheur de souffrir des conséquences de ses actes et de ses décisions.
Le coureur et le footballeur, on du bonheur à pratiquer leur sport pourtant contraignant. Ils se prouvent à eux-mêmes qu’ils ont la capacité de surmonter les difficultés qu’ils s’imposent à eux-mêmes.
Le boxeur n’aime pas les coups qu’il reçoit, par contre il a du bonheur à recevoir les coup en réponse à ses propres attaques quant il vient au contact car personne d’autre que lui ne s’est infligé la peine qu’il retire de cette joute.
Un intellectuel comme un écrivain professionnel prend de la peine à écrire car ce travail demande beaucoup d’efforts. Mais il dit de lui-même que tout comme les sportifs ayant fait le choix personnel des peines à endurer, lui-même a du bonheur à écrire car ce qu’il produit n’est autre que l’expression de sa propre liberté personnelle, de son choix personnel et intime que personne ne lui a jamais imposé.
L’avare lui-même qui agit par excès d’amour de l’argent prend plaisir à l’amasser en supportant la peine de se priver des plaisirs qu’il pourrait d’offrir. Et à l’inverse, comme dans tous les autres exemples analysés, ce même avare ne prendra pas plaisir à recevoir un héritage pour lequel il n’aura eu à supporter aucune peine, sinon celle d’aller signer un reçu chez le notaire.
Ce texte nous enseigne que nous nous rendons capable de supporter 1000 peines dès lors que ces peines soient la conséquence directe et exclusive de nos propres décisions. Cette situation est une forme d’expression de la liberté. A l’opposé, la peine subie peut être comparée à de l’esclavage, à une mise sous tutelle imposée qui sera d’autant plus douloureuse à supporter qu’elle n’aura pas été choisie en parfaite liberté.
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