Bonsoir '
Chèr Harold !
Je vois bien que ton long silence laisse supposer que tu me tiens toujours rigueur après ce pseudo incident que je croyais effacer et oublier à jamais . Mais hélas ! À mon grand regret , tes boutades persistantes viennent chaque jour se rappeler à mon bon souvenir avec un sang froid et sérénité dignes d'un athlète olympien. Je respecte cette attitude dans laquelle apparemment tu te complais et qui te fais du bien. Je te croyais assez fort et intelligent pour surmonter ce malentendu qui n'avait pas sa raison d'être tant par sa futilité que sa stérilité .
En attendant le retour du beau temps de ton côté , reçois , cher ami , une tranche de mon ciel bleu et ensoleillé.
Bonne soirée.