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On descend le cheval ; et c'est toujours une émotion, car il arrive parfois que la bête, saisie d’une telle épouvante, débarque morte. En haut, lié dans un filet, il se débat éperdument ; puis, dès qu’il sent le sol manquer sous lui, il reste comme pétrifié, il disparaît sans un frémissement de la peau, l’oeil agrandi et fixe. Celui-ci étant trop gros pour passer entre les guides, on doit, en l’accrochant au-dessous de la cage, lui rabattre et lui attacher la tête sur le flanc. La descente dure près de trois minutes, on ralentit la machine par précaution. Aussi, en bas, l’émotion grandit-elle.
Bonne journée !
Réponse:
On descend le cheval ; et c’est toujours une émotion, car il arrive parfois que la bête, saisie d’une telle épouvante, débarque morte. En haut, lié dans un filet, il se débat perdument ; puis, dès qu’il sent le sol manquer sous lui, il reste comme pétrifié, il disparait sans un frémissement de la peau, l’oeil agrandi et fixe. Celui-ci étant trop gros pour passer entre les guides, on a dû, en l’accrochant au-dessous de la cage, lui rabattre et lui attacher la tête sur le flanc. La descente dure près de trois minutes, on ralentit la machine par précaution. Aussi, en bas, l’émotion grandit-elle.
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