Bonjour,
Il est vrai que tout au long de mes poèmes, je poursuivais un idéal et j'ai de ce fait tenté de l'atteindre. Pourtant, j'entrevoyais cela comme étant impossible, puisque c'est trop beau pour pouvoir exister dans la réalité.
J'avais tout d'abord tenté d'atteindre cet idéal en m'échappant du spleen par la mort,et je savais également que c'était le cheminement de la vie, cependant, la seule possibilité de retrouver l'idéal était par le décès. Cela reflète l'image d'une libération éternelle comme un "beau" voyage.
De plus, je suis parvenue à percer un autre moyen pour accéder à mon désir, en m'évadant du spleen par un séjour imaginaire et j'ai enfin obtenu le résultat d'un magnifique voyage idéalisé par le biais du rêve où résidait la beauté.
En conclusion, je profitais de l'idéal seulement à travers mes poèmes.
m'emparraissais : ce mot n'existe pas !
