A chacun de se sentir ou non concerné par des qui tirent vers le bas.
Certains ont regardé ce que l'on pensait qu'ils regardaient, mais d'autres auxquels on n'avait pas songé, ont fait de même .
Tous ne jubilaient pas. Tous ne fleurissaient pas les wagons, ou ne les couvraient pas d'inscription gaillardes. Beaucoup ne regardaient pas sans arrière-pensée les paysans qui, venus le long des voies, répondaient mal aux cris de bravade et saluaient un peu trop gravement ces trains remplis d'hommes jeunes. Chacun des deux peuples s'était élancé à la rencontre de l'autre.
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