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Le texte étudié est un extrait de Ziméo, il s’agit un conte philosophique qui appartient au genre de l’apologue : c’est un récit court etplaisant a visée moralisatrice il regroupe également la fable la parabole et l’utopie. Il a été publié en 1769 par l’évêque Saint Lambert. Le thème de cet excipit est l’esclavage des noirs. La thèsedéfendue est que les Africains ne sont pas des sous-hommes mais que ce sont nos semblables. Nous allons voir comment l’auteur dénonce l’esclavage tout en ajoutant quelques réflexions sur les nègres, enconvainquant les nations de porter un nouveau regard sur eux. Dans un premier temps nous analyserons l’intérêt d’opposer les préjugés et leur vraie nature qui démontre que nous sommes semblables. Ensuitenous verrons que les retards technologiques des noirs par rapport aux européens sont justifiés et explicable, et enfin nous étudierons les moyens qu’utilise l’auteur pour rendre son texte convainquantet touchant.
Dans une première partie, le narrateur lutte contre les préjugés et les stéréotypes. En effet aux yeux des Européens leur physique se réduit a « un nez écrasé » « grosses lèvres »leur qualités morales à « paresseux, fripons, menteurs » leur structures sociales « sauvage sans gouvernement » des qualités intellectuelles infimes « ni sciences » « ni boussoles » « ni imprimerie »mais tout ces termes péjoratifs s’opposent a une antithèse, figure rhétorique dominante tout le long du texte. Pour lutter contre le premier préjugé physique, il utilise une énumération hétérogène quipermet de montrer l’universalité du défaut « des Lapons, des tartares, des Esquimaux, des Mongols, des Chinois ». Le terme « difformités » s’oppose à « plus belles proportions » (superlative relativede supériorité).
Pour les qualités morales, il utilise de nouveau l’énumération qui permet variété et efficacité.
Dans une première partie, le narrateur lutte contre les préjugés et les stéréotypes. En effet aux yeux des Européens leur physique se réduit a « un nez écrasé » « grosses lèvres »leur qualités morales à « paresseux, fripons, menteurs » leur structures sociales « sauvage sans gouvernement » des qualités intellectuelles infimes « ni sciences » « ni boussoles » « ni imprimerie »mais tout ces termes péjoratifs s’opposent a une antithèse, figure rhétorique dominante tout le long du texte. Pour lutter contre le premier préjugé physique, il utilise une énumération hétérogène quipermet de montrer l’universalité du défaut « des Lapons, des tartares, des Esquimaux, des Mongols, des Chinois ». Le terme « difformités » s’oppose à « plus belles proportions » (superlative relativede supériorité).
Pour les qualités morales, il utilise de nouveau l’énumération qui permet variété et efficacité.
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