Répondre :
1) 19 eme siècle, tout d'abord car le vocabulaire utiliser est familier et qu'à l'époque on utilise du vocabulaire soutenue et que la description des lieux correspond a cette époque
2) on voit que le narrateur est un enfant car il regarde des dessins animes, il tient la main a son papa mais il dit que d'ici un an ou deux il seras trop grand pour le faire, son père le porte pour aller dans la piscine, il va dans le bain des petits, je lui donnerai environ 8-9 ans car son père le porte et il dit qu'il peut encore lui tenir la main mais que dans un an ou deux il sera trop grand donc il aura environ 10 ans et à cet age la on n'a plus trop envi que nos parents nous tiennent la main.
2) on voit que le narrateur est un enfant car il regarde des dessins animes, il tient la main a son papa mais il dit que d'ici un an ou deux il seras trop grand pour le faire, son père le porte pour aller dans la piscine, il va dans le bain des petits, je lui donnerai environ 8-9 ans car son père le porte et il dit qu'il peut encore lui tenir la main mais que dans un an ou deux il sera trop grand donc il aura environ 10 ans et à cet age la on n'a plus trop envi que nos parents nous tiennent la main.
1. Le texte date nécessairement du XXème siècle, à cause de la présence de la télévision, et plus probablement dans les années 80-90, à cause des dessins animés datés comme G.I. Joe, Garfield et Spiderman.
2. Le narrateur est un enfant, car : il regarde des dessins animés, il tient encore la main de son père mais sait que d'ici un an ou deux il ne pourra plus le faire, il ne sait pas encore nager, il est un peu effrayé par les autres enfants qui crient et qui pataugent bruyamment et joue dans le bain des petits à la piscine. Il appelle ses parents m'man et p'pa, et non "ma mère" ou "mon père". On peut donc supposer qu'il a entre six et huit ans.
3. "La piscine du quartier" est une expression familière.
4. L'enfant n'est pas vraiment comme les autres, il est intelligent (sa mère lui interdit donc les dessins animés débiles), il est conscient que sa petite enfance finira dans un an ou deux et qu'il ne pourra plus tenir la main de son père ; il est conscient que son père est différent de ceux des autres enfants.
5. Il est facile de se mettre à la place de l'enfant, à commencer par les dissensions qui opposent les parents en matière d'éducation, ou les dessins animés qu'il regarde.
6. A) Vocabulaire subjectif : "tout ruisselant", "chair blanche et flasque", "cheveux plaqués sur la calvitie", "il est moins beau que d'autres papas plus jeunes et sveltes et bronzé." C'est un vocabulaire dépréciatif, qui critique les défauts physiques du père. B) La phrase suivante ("Il met... bain des petits.") est objective, car la critique du "beau bide" est en fait l'autodérision du père ("son beau bide comme il l'appelle").
7. A) Avec : préposition, non : adverbe de négation.
B) Le père enseigne à son fils de toujours chercher à prendre des risques calculés, à se montrer insoumis pour se sentir vivant et libre - et non esclave des règlements.
8. A) Paroles rapportées du père : "il dit que les gens intelligents ont besoin de connaître la stupidité du monde", "p'pa suggère qu'on aille se rafraîchir à la piscine du quartier", "il dit qu'il faut toujours jouer avec et non pas selon les règles parce qu'une vie sans danger ce n'est pas une vie.", "son beau bide comme il l'appelle", "p'pa (...) dit qu'il doit retourner bosser."
B) Toutes ces paroles sont au discours indirect, jamais les propos du père ne sont repris au style direct.
C) Le père et le fils sont complices ("c'est entre nous", "p'pa vient parfois la regarder avec moi"), le père est protecteur : il prend son fils dans ses bras pour l'emmener dans l'eau dans la piscine et pour le rassurer ("et ensuite tout va bien"), le fils aime que son père ne soit pas esclave des règles mais libre, et il l'admire ("je m'en fiche parce que c'est le meilleur papa du monde"). Le père est vigilant, il continue à surveiller de l'œil son garçon qui joue, puis vient le prendre dans ses bras pour le faire sortir de l'eau (tendresse).
2. Le narrateur est un enfant, car : il regarde des dessins animés, il tient encore la main de son père mais sait que d'ici un an ou deux il ne pourra plus le faire, il ne sait pas encore nager, il est un peu effrayé par les autres enfants qui crient et qui pataugent bruyamment et joue dans le bain des petits à la piscine. Il appelle ses parents m'man et p'pa, et non "ma mère" ou "mon père". On peut donc supposer qu'il a entre six et huit ans.
3. "La piscine du quartier" est une expression familière.
4. L'enfant n'est pas vraiment comme les autres, il est intelligent (sa mère lui interdit donc les dessins animés débiles), il est conscient que sa petite enfance finira dans un an ou deux et qu'il ne pourra plus tenir la main de son père ; il est conscient que son père est différent de ceux des autres enfants.
5. Il est facile de se mettre à la place de l'enfant, à commencer par les dissensions qui opposent les parents en matière d'éducation, ou les dessins animés qu'il regarde.
6. A) Vocabulaire subjectif : "tout ruisselant", "chair blanche et flasque", "cheveux plaqués sur la calvitie", "il est moins beau que d'autres papas plus jeunes et sveltes et bronzé." C'est un vocabulaire dépréciatif, qui critique les défauts physiques du père. B) La phrase suivante ("Il met... bain des petits.") est objective, car la critique du "beau bide" est en fait l'autodérision du père ("son beau bide comme il l'appelle").
7. A) Avec : préposition, non : adverbe de négation.
B) Le père enseigne à son fils de toujours chercher à prendre des risques calculés, à se montrer insoumis pour se sentir vivant et libre - et non esclave des règlements.
8. A) Paroles rapportées du père : "il dit que les gens intelligents ont besoin de connaître la stupidité du monde", "p'pa suggère qu'on aille se rafraîchir à la piscine du quartier", "il dit qu'il faut toujours jouer avec et non pas selon les règles parce qu'une vie sans danger ce n'est pas une vie.", "son beau bide comme il l'appelle", "p'pa (...) dit qu'il doit retourner bosser."
B) Toutes ces paroles sont au discours indirect, jamais les propos du père ne sont repris au style direct.
C) Le père et le fils sont complices ("c'est entre nous", "p'pa vient parfois la regarder avec moi"), le père est protecteur : il prend son fils dans ses bras pour l'emmener dans l'eau dans la piscine et pour le rassurer ("et ensuite tout va bien"), le fils aime que son père ne soit pas esclave des règles mais libre, et il l'admire ("je m'en fiche parce que c'est le meilleur papa du monde"). Le père est vigilant, il continue à surveiller de l'œil son garçon qui joue, puis vient le prendre dans ses bras pour le faire sortir de l'eau (tendresse).
Merci d'avoir visité notre site Web, qui traite d'environ Français. Nous espérons que les informations partagées vous ont été utiles. N'hésitez pas à nous contacter pour toute question ou demande d'assistance. À bientôt, et pensez à ajouter ce site à vos favoris !