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Dans le sens courant, l'homme libre est celui qui fait ce qu'il veut et non ce que veut un autre que lui, autrement dit elle est l'absence de contrainte étrangère. En philosophie, on peut dégager 7 grands sens de ce terme. – 1° Sens général : état de l'être qui agit conformément à sa volonté sans subir de contrainte extérieure. 2° Sens politique et social : les mots libre ou liberté marquent simplement l'absence d'une contrainte sociale s'imposant à l'individu – on est libre de faire tout ce qui n'est pas défendu par la loi. Ici l'on retrouve le sens 2 de la notion de droit ; c'est ce qu'on appelle une définition négative de la liberté. 3 ° Dans un sens absolu le terme de liberté est connoté de façon appréciative et positive. Il désigne le degré d'indépendance de l'individu à l'égard du groupe auquel il appartient – mais degré souhaitable dès lors que « la liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui. » (Art 4. Déclaration de 1789).
La conception commune de la liberté fait d’elle non seulement un droit, mais aussi un droit illimité. Ainsi, être libre devient faire ce que l’on veut, faire tout ce que l’on veut. Mais est-ce réellement cela être libre ? La liberté ne nécessite-t-elle pas une certaine limitation (de droit ou de fait) pour être pleinement liberté ?
Partant, se demander s’il faut défendre sa liberté pose plusieurs problèmes. En effet, de quelle liberté s’agit-il ? S’agit il de la conception commune de la liberté qui dépasse la conception du droit à la liberté ? Car dans ce cas, la défendre, ne reviendrait-il pas tout simplement à la détruire ? S’agit-il de ma liberté en tant qu’individu particulier, rentrant dans le cadre des droits de l’homme et du citoyen ? Dans ce cas, ma liberté n’entrant nullement en opposition à la liberté de l’autre et n’entrant nullement en opposition à la loi, la défendre est bien plus qu’un droit, mais même un devoir.
j'ai eu c'etait réponse sur aide en philo
La conception commune de la liberté fait d’elle non seulement un droit, mais aussi un droit illimité. Ainsi, être libre devient faire ce que l’on veut, faire tout ce que l’on veut. Mais est-ce réellement cela être libre ? La liberté ne nécessite-t-elle pas une certaine limitation (de droit ou de fait) pour être pleinement liberté ?
Partant, se demander s’il faut défendre sa liberté pose plusieurs problèmes. En effet, de quelle liberté s’agit-il ? S’agit il de la conception commune de la liberté qui dépasse la conception du droit à la liberté ? Car dans ce cas, la défendre, ne reviendrait-il pas tout simplement à la détruire ? S’agit-il de ma liberté en tant qu’individu particulier, rentrant dans le cadre des droits de l’homme et du citoyen ? Dans ce cas, ma liberté n’entrant nullement en opposition à la liberté de l’autre et n’entrant nullement en opposition à la loi, la défendre est bien plus qu’un droit, mais même un devoir.
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