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Salut!
Ton texte est pas mal du tout! Pour l'améliorer il fraudais que tu ajoute des mots du champ lexical de la peur comme: apeurée, surprise, tremblante... ect pour qu'on soit plus dans le "stress".
Après pour la fin je pense que c'est pas mal que le chose ou le personnage ait volé quelque chose, mais après ce n'est qu'une idée.
Comme ça la personne se demande à la fin: Aurais-je rêvé? Serais Lucie ou son mari ou bien un fantôme?
Sinon tu as fait quelques fautes d'othographe: J'avais refermé, c'est l'auxliaire avoir, donc ça s'écrit é. Enfin relis toi, ce sont des petites fautes d'accord que tu pourrais corriger à mon avis.
Sinon ton texte comporte beaucoup de virgules et je trouve que ça allourdit un peu par moments. Alors n'hésite pas à faire des phrases plus courtes ou bien en variant la ponctuation.
J’espère t'avoir un peu aidée! :-)
Ton texte est pas mal du tout! Pour l'améliorer il fraudais que tu ajoute des mots du champ lexical de la peur comme: apeurée, surprise, tremblante... ect pour qu'on soit plus dans le "stress".
Après pour la fin je pense que c'est pas mal que le chose ou le personnage ait volé quelque chose, mais après ce n'est qu'une idée.
Comme ça la personne se demande à la fin: Aurais-je rêvé? Serais Lucie ou son mari ou bien un fantôme?
Sinon tu as fait quelques fautes d'othographe: J'avais refermé, c'est l'auxliaire avoir, donc ça s'écrit é. Enfin relis toi, ce sont des petites fautes d'accord que tu pourrais corriger à mon avis.
Sinon ton texte comporte beaucoup de virgules et je trouve que ça allourdit un peu par moments. Alors n'hésite pas à faire des phrases plus courtes ou bien en variant la ponctuation.
J’espère t'avoir un peu aidée! :-)
Bonjour,
C'était pendant le soir du vendredi 13 Novembre, je m'étais préparée afin de recevoir mon amie, Lucie R... et son mari Jackson R...car je les avais invités à manger. En fin de soirée, me sentant fatiguée, ils ont dûr rentrer chez eux un peu plus tôt que nous l espérions. Quand ils furent partis, je refermai alors ma porte d'entrée à double tours. Ensuite, je suis allée à la cuisine prendre un verre d'eau avant de me coucher et j'entendis des pas venant de ma chambre. Je montais lentement les escaliers et je vis alors, dans le miroir accrochée au mur, une ombre passer derrière mon reflet. Je me retournais aussitôt, mais bizarrement, plus rien ne m apparaissait. Malgré ma peur, je me couchai, tremblante et enfouie sous mes draps, à moitié étouffée, mais bien trop épuisée pour résister. Le lendemain matin, je descendais prendre mon petit-déjeuner comme chaque jour, puis j aperçus ma porte d'entrée entre-ouverte. D un naturel curieux, et n oubliant pas les événements extraordinaires de la veille, je m approchais doucement mais sûrement vers ce courant d air inhabituel par un temps estival, puis je sortais ma tête de mon humble demeure, lorsque je vis, horreur, un quartier dévasté, comme si une bombe avait tout détruit. Je ne reconnus plus rien, tout était balayé sur le sol, plus aucune maison, ni voiture, ni végétation, n apparaissait devant moi, que des morceaux de tôle, des gens au sol, et un vent glacial. Pourquoi alors, ma maison tenait encore debout, pourquoi, alors, étais-je toujours vivante, que s était-il passé dans cet endroit si paisible auparavant ?
C'était pendant le soir du vendredi 13 Novembre, je m'étais préparée afin de recevoir mon amie, Lucie R... et son mari Jackson R...car je les avais invités à manger. En fin de soirée, me sentant fatiguée, ils ont dûr rentrer chez eux un peu plus tôt que nous l espérions. Quand ils furent partis, je refermai alors ma porte d'entrée à double tours. Ensuite, je suis allée à la cuisine prendre un verre d'eau avant de me coucher et j'entendis des pas venant de ma chambre. Je montais lentement les escaliers et je vis alors, dans le miroir accrochée au mur, une ombre passer derrière mon reflet. Je me retournais aussitôt, mais bizarrement, plus rien ne m apparaissait. Malgré ma peur, je me couchai, tremblante et enfouie sous mes draps, à moitié étouffée, mais bien trop épuisée pour résister. Le lendemain matin, je descendais prendre mon petit-déjeuner comme chaque jour, puis j aperçus ma porte d'entrée entre-ouverte. D un naturel curieux, et n oubliant pas les événements extraordinaires de la veille, je m approchais doucement mais sûrement vers ce courant d air inhabituel par un temps estival, puis je sortais ma tête de mon humble demeure, lorsque je vis, horreur, un quartier dévasté, comme si une bombe avait tout détruit. Je ne reconnus plus rien, tout était balayé sur le sol, plus aucune maison, ni voiture, ni végétation, n apparaissait devant moi, que des morceaux de tôle, des gens au sol, et un vent glacial. Pourquoi alors, ma maison tenait encore debout, pourquoi, alors, étais-je toujours vivante, que s était-il passé dans cet endroit si paisible auparavant ?
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