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Voilà ce que j'ai trouvé (comme c asser long tu peut prendre les infos les plus importantes)
Antigone de Jean Anouilh est une tragédie écrite en prose en 1 acte. La pièce commence avec le personnage nommé le Prologue qui met l’histoire dans son contexte. Cette technique permet de rafraîchir la mémoire du spectateur tut en présentant les personnages de l’intrigue. Cette technique n’est pas propre à Anouilh mais est monnaie courante dans les tragédies grecques. En l’occurrence, ici, elle nous replace dans le contexte de la mort d’Étéocle et Polynice qui se sont entretués pour le trône de Thèbes qui est finalement revenu à Créon, l’oncle d’Antigone. La pièce débute avec le retour nocturne d’Antigone chez elle. La nourrice lui prodigue ses conseils pratiques mais Antigone sait ce qu’elle vient de faire, et sait qu’elle vient de sceller son destin.
Ismène, la sœur d’Antigone, vient la dissuader d’enterrer le corps de Polynice, le cœur du problème, car le roi l’a interdit et l’on ne peut contrevenir au roi Créon. Antigone le sait, mais cela ne la fera pas changer d’avis, car elle ne peut se soustraire à son destin, quel qu’il soit. Antigone joue avec sa sœur comme avec son fiancé dans la scène suivante sur l’ambiguïté des propos qui laissent croire qu’elle pense à mourir. Ceux qui savent croient lire ce message tandis que ceux qui ignorent le destin n’y voient que des propos anodins. Ensuite, Antigone avoue que le crime a déjà été commis, qu’elle a enseveli le corps de son frère, bravant l’interdiction. Le roi, furieux, fait étouffer l’affaire pour que l’on ne remette pas en cause son autorité en mettant au secret les gardes qui ont arrêté Antigone.
Au début de la deuxième scène, Antigone se fait arrêter près du cadavre de son frère qu’elle a enterré. Elle est présentée devant Créon et ne cherche ni à fuit, ni à nier, ni à faire accuser quelqu’un d’autre à sa place. Elle porte toute la responsabilité de son geste. Elle avoue tout. Créon tente alors, dans une grande confrontation, de convaincre la jeune fille qu’elle a perdu la raison et qu’il faut la ramener dans le droit chemin. Les deux protagonistes se mettent alors à jour et l’on découvre un Créon obéissant à la raison d’Etat tandis qu’Antigone se laisse porter par ses sentiments, totalement sourde aux arguments de Créon. Antigone manque de se rallier à la raison lorsqu’elle découvre qui étaient vraiment les deux frères. Créon croit la partie gagnée et rappelle à Antigone la vie bien ordinaire qui l’attend aux côtés d’ Hémon, son fiancé. Ce futur insipide aux yeux d’Antigone le suffit à la pousser à la révolte et donc par la même vers le chemin de la mort (Vous me dégoûtez tous avec votre bonheur ! Avec votre vie qu’il faut aimer coûte que coûte… Moi, je veux tout, tout de suite, et que ce soit entier, ou alors je refuse! Je ne veux pas être modeste, moi, et de me contenter d’un petit morceau, si j’ai été bien sage.). Ismène veut aller aussi jouer les héroïnes auprès d’Antigone qui refuse de lui laisser porter ce rôle. La scène se clôt avec Antigone qui appelle la mort de ses cris.
Le Chœur tente alors d’intercéder en faveur d’Antigone, tout comme Hémon, sans succès. Le roi argumente sur le fait qu’Antigone a agi en toute connaissance de cause et appelle la mort de ses vœux.
Antigone est condamnée à être enterrée vivante et, pendant un temps, éprouve des doutes sur son geste ? Elle laisse un dernier message mettant volontairement à l’écart ses derniers instants de doute. Le Messager entre en scène. Il annonce la mort d’Antigone, celle d’Hémon qui s’est suicidé avec son épée. Il annonce aussi la mort d’Eurydice, la femme de Créon, qui s’ôte la vie de chagrin à la mort de son fils préféré.
Lors de la scène finale, Créon apparait sur scène, stoïque, comme si les évènements étaient passé sur lui dans laisser de traces. Le Créon, homme de pouvoir qui agit pour la raison d’Etat, prend le pas sur l’Homme. La pièce se termine sur une note tragique, ironique même. Le Chœur entre en scène et constate la mort de presque tous les protagonistes, un vrai gâchis. La pièce se termine sur les gardes du château jouant aux cartes, comme lors du début de la pièce, seuls humains épargnés par la tragédie, comme une ultime dérision.
Antigone de Jean Anouilh est une tragédie écrite en prose en 1 acte. La pièce commence avec le personnage nommé le Prologue qui met l’histoire dans son contexte. Cette technique permet de rafraîchir la mémoire du spectateur tut en présentant les personnages de l’intrigue. Cette technique n’est pas propre à Anouilh mais est monnaie courante dans les tragédies grecques. En l’occurrence, ici, elle nous replace dans le contexte de la mort d’Étéocle et Polynice qui se sont entretués pour le trône de Thèbes qui est finalement revenu à Créon, l’oncle d’Antigone. La pièce débute avec le retour nocturne d’Antigone chez elle. La nourrice lui prodigue ses conseils pratiques mais Antigone sait ce qu’elle vient de faire, et sait qu’elle vient de sceller son destin.
Ismène, la sœur d’Antigone, vient la dissuader d’enterrer le corps de Polynice, le cœur du problème, car le roi l’a interdit et l’on ne peut contrevenir au roi Créon. Antigone le sait, mais cela ne la fera pas changer d’avis, car elle ne peut se soustraire à son destin, quel qu’il soit. Antigone joue avec sa sœur comme avec son fiancé dans la scène suivante sur l’ambiguïté des propos qui laissent croire qu’elle pense à mourir. Ceux qui savent croient lire ce message tandis que ceux qui ignorent le destin n’y voient que des propos anodins. Ensuite, Antigone avoue que le crime a déjà été commis, qu’elle a enseveli le corps de son frère, bravant l’interdiction. Le roi, furieux, fait étouffer l’affaire pour que l’on ne remette pas en cause son autorité en mettant au secret les gardes qui ont arrêté Antigone.
Au début de la deuxième scène, Antigone se fait arrêter près du cadavre de son frère qu’elle a enterré. Elle est présentée devant Créon et ne cherche ni à fuit, ni à nier, ni à faire accuser quelqu’un d’autre à sa place. Elle porte toute la responsabilité de son geste. Elle avoue tout. Créon tente alors, dans une grande confrontation, de convaincre la jeune fille qu’elle a perdu la raison et qu’il faut la ramener dans le droit chemin. Les deux protagonistes se mettent alors à jour et l’on découvre un Créon obéissant à la raison d’Etat tandis qu’Antigone se laisse porter par ses sentiments, totalement sourde aux arguments de Créon. Antigone manque de se rallier à la raison lorsqu’elle découvre qui étaient vraiment les deux frères. Créon croit la partie gagnée et rappelle à Antigone la vie bien ordinaire qui l’attend aux côtés d’ Hémon, son fiancé. Ce futur insipide aux yeux d’Antigone le suffit à la pousser à la révolte et donc par la même vers le chemin de la mort (Vous me dégoûtez tous avec votre bonheur ! Avec votre vie qu’il faut aimer coûte que coûte… Moi, je veux tout, tout de suite, et que ce soit entier, ou alors je refuse! Je ne veux pas être modeste, moi, et de me contenter d’un petit morceau, si j’ai été bien sage.). Ismène veut aller aussi jouer les héroïnes auprès d’Antigone qui refuse de lui laisser porter ce rôle. La scène se clôt avec Antigone qui appelle la mort de ses cris.
Le Chœur tente alors d’intercéder en faveur d’Antigone, tout comme Hémon, sans succès. Le roi argumente sur le fait qu’Antigone a agi en toute connaissance de cause et appelle la mort de ses vœux.
Antigone est condamnée à être enterrée vivante et, pendant un temps, éprouve des doutes sur son geste ? Elle laisse un dernier message mettant volontairement à l’écart ses derniers instants de doute. Le Messager entre en scène. Il annonce la mort d’Antigone, celle d’Hémon qui s’est suicidé avec son épée. Il annonce aussi la mort d’Eurydice, la femme de Créon, qui s’ôte la vie de chagrin à la mort de son fils préféré.
Lors de la scène finale, Créon apparait sur scène, stoïque, comme si les évènements étaient passé sur lui dans laisser de traces. Le Créon, homme de pouvoir qui agit pour la raison d’Etat, prend le pas sur l’Homme. La pièce se termine sur une note tragique, ironique même. Le Chœur entre en scène et constate la mort de presque tous les protagonistes, un vrai gâchis. La pièce se termine sur les gardes du château jouant aux cartes, comme lors du début de la pièce, seuls humains épargnés par la tragédie, comme une ultime dérision.
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