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Bonjour et merci a ce qui m'aideront. enfainte je voudrais que vous me corriger ce texte que j'ai écrit et de mettre ce texte a l'imparfait et au passé simple svp. Merci encore.

Le texte:

Un matin, Rose descenda les escaliers pour aller au jardin cueuillir quelques légumes pour préparer la soupe préférée de mme Lefèvre. Elle découvrit que la moitié des légumes avait disparus et le jardin était ravagé. elle alla prévenir mme Lefèvre. Alors les deux femmes décidèrent d'installer un piège pour attraper le coupable.
Le lendemain, Rose passait près du jardin, elle entendi des grognements et des glapossements. C'était un renard qui c'était coicé la patte dans le piège. Il tirait en vainement sur sa patte mais rien a faire. La servante essaya de l'approcher pour l'aider, mais elle hésita car le renard était très en colère et très agréssif. Rose ne paniqua pas, elle resta calme et prena certaines mesures pour apaiser la situation. Elle appela Mm Lefevre. Peu a peu, le renard perdait ses forces, et allait s'évanouir s'il restait comma ça trop longtemps. Les deux femmes approchèrent doucement le renard qui était très faible et libèrent sa patte blessé. Une fois la patte libérée, à leur grand étonnements, le renard reparti en clopinant.


Répondre :

Un  matin, Rose  descendit  les  escaliers pour aller au  jardin cueillir quelques légumes pour préparer la soupe préférée de Madame Lefèvre. Elle découvrit que  la  moitié des  légumes avait  disparu et  le  jardin était ravagé. Elle alla  prévenir Madame Lefèvre. Alors, les deux femmes décidèrent  d'installer un  piège  pour attraper le coupable.
Le lendemain, Rose  passa près du  jardin, elle entendit  des  grognements et des glapissements. C'était un  renard qui s'était coincé une  patte dans  le  piège. Il tirait en vain sur sa patte.La servante essaya de  s'approcher de l'animal pour l'aider à se dégager; mais elle hésita car le renard était en fureur et  très  agressif. Rose  ne fut  pas  prise de  panique; elle demeura calme et  prit des mesures pour apaiser la situation.
Elle appela Madame Lefèvre. Peu  à peu, le renard perdait  de ses forces; il allait certainement succomber s'il devait rester dans  cet état. Les deux  femmes s'approchèrent tout doucement de la bête qui était devenue  très  faible,puis elles libérèrent la  patte blessée. Une fois la patte délivrée du  piège, le  renard en alla en clopinant, à leur grand étonnement.
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