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Bonjour,
Exemple de texte :
Quand j’étais rentré chez moi, il faisait déjà soir. Ma mère accourut me voir et hurla :
- Mais où étais-tu, enfin ? Moi et ton père on a faillit appeler la police !
Mon père arriva derrière elle, l’air vraiment furieux.
- Tu vas nous dire ce qu’il se passe et tout de suite !
- J’ai été témoin de quelque chose de très grave, il fallait que j’intervienne !
- Quelque chose de grave ? C’est à dire ? demanda ma mère
- Quelqu’un frappé un de mes amis et a failli voler son téléphone !
- Vraiment ? s’écria mon père
- Ben, il ne l’a pas frappé...
Mes parents me jetèrent un regard incrédule.
- Enfin, il lui a crié de lui passer son téléphone...
- Et... ?
À toi d’inventer la suite, je t’ai fais le début ! C’est ce qu’il y a de plus difficile.
Si tu n’y arrives vraiment pas dis le moi !
Après tout, tu dois justement tout décrire, c’est ton exercice.
Bonne soirée :)
Exemple de texte :
Quand j’étais rentré chez moi, il faisait déjà soir. Ma mère accourut me voir et hurla :
- Mais où étais-tu, enfin ? Moi et ton père on a faillit appeler la police !
Mon père arriva derrière elle, l’air vraiment furieux.
- Tu vas nous dire ce qu’il se passe et tout de suite !
- J’ai été témoin de quelque chose de très grave, il fallait que j’intervienne !
- Quelque chose de grave ? C’est à dire ? demanda ma mère
- Quelqu’un frappé un de mes amis et a failli voler son téléphone !
- Vraiment ? s’écria mon père
- Ben, il ne l’a pas frappé...
Mes parents me jetèrent un regard incrédule.
- Enfin, il lui a crié de lui passer son téléphone...
- Et... ?
À toi d’inventer la suite, je t’ai fais le début ! C’est ce qu’il y a de plus difficile.
Si tu n’y arrives vraiment pas dis le moi !
Après tout, tu dois justement tout décrire, c’est ton exercice.
Bonne soirée :)
C'était un pluvieux et froid vendredi du mois de décembre, en début de soirée. Représentant les élèves , je venais de quitter mon établissement après avoir assisté à un conseil de classe.
Je résidais à cinq kilomètres environ de l'établissement, et je devais prendre le dernier bus qui, ce soir-là, me conduirait presque à la porte de mon domicile où je savais que mes parents m'attendaient pour le dîner.
Il va sans dire que j'étais impatient ( e) de me retrouver à la maison en cette fin de semaine de travail scolaire,impatiente aussi de me restaurer et surtout de me reposer.
J'étais absorbé ( e) dans mes pensées pendant que le bus s'était engagé du côté des grands boulevards où, en raison du début de week-end, la fluidit�� de la circulation avait laissé la place à des embouteillages. Nous n'avancions presque plus, coincés que nous étions
entre deux files de véhicules. La patience s'imposait à nous donc avec la conduite prudente et assurée du machiniste.
Nous avions parcouru la moitié de l'itinéraire lorsqu'une brume assez épaisse fit son apparition sur notre route diminuant la visibilité. En conducteur averti, le machiniste réduisit sa vitesse. Mais c'était sans compter sur l'énervement et la précipitation de certains conducteurs qui le serraient de près. En ces circonstances, ce qui devait arriver..arriva ! Un véhicule, en l'occurrence une camionnette, percuta notre bus par l'arrière provoquant une suite de chocs entre cinq voiture, notre bus restant pris en sandwich, malgré les coups de frein de notre chauffeur. Un fracas qui en surprit beaucoup dans le bus. Quelques passagers furent secoués sans grand mal heureusement comme on a pu le constater un plus tard. Le pare-brise Deux ou trois automobiles avaient des tôles froissées; la vitre avant de la camionnette fautive s'était fissurée. La Police et les pompiers arrivèrent rapidement sur les lieux malgré le temps pourri et les embouteillages. Heureusement, il y avait plus de peur que de mal puisque aucun blessé n'était à déplorer. Ce fut le constat à l'amiable qui traîna en longueur. Dès lors, j'étais certain que j'allais passer un bon moment sur place, le temps que tout se remette en place, lentement hélas. Et puis, mes parents, certainement et à juste titre, gagnés par l'inquiétude ignoraient ce qui se passait: j' avais encore oublié mon téléphone portable en quittant la maison ce matin ! Ce qui n'arrangeait rien comme je l'ai appris plus tard, en arrivant enfin à domicile lorsque je me mis à leur raconter les péripéties de mon retour à la maison, près trois heures après ma sortie de l'établissement.
un bon moment sur place ! Qui plus est, j'avais oublié mon téléphone portable, je ne pouvais donc pas joindre mes parents qui étaient, à coup sûr, gagnés par l'inquiétude
Je résidais à cinq kilomètres environ de l'établissement, et je devais prendre le dernier bus qui, ce soir-là, me conduirait presque à la porte de mon domicile où je savais que mes parents m'attendaient pour le dîner.
Il va sans dire que j'étais impatient ( e) de me retrouver à la maison en cette fin de semaine de travail scolaire,impatiente aussi de me restaurer et surtout de me reposer.
J'étais absorbé ( e) dans mes pensées pendant que le bus s'était engagé du côté des grands boulevards où, en raison du début de week-end, la fluidit�� de la circulation avait laissé la place à des embouteillages. Nous n'avancions presque plus, coincés que nous étions
entre deux files de véhicules. La patience s'imposait à nous donc avec la conduite prudente et assurée du machiniste.
Nous avions parcouru la moitié de l'itinéraire lorsqu'une brume assez épaisse fit son apparition sur notre route diminuant la visibilité. En conducteur averti, le machiniste réduisit sa vitesse. Mais c'était sans compter sur l'énervement et la précipitation de certains conducteurs qui le serraient de près. En ces circonstances, ce qui devait arriver..arriva ! Un véhicule, en l'occurrence une camionnette, percuta notre bus par l'arrière provoquant une suite de chocs entre cinq voiture, notre bus restant pris en sandwich, malgré les coups de frein de notre chauffeur. Un fracas qui en surprit beaucoup dans le bus. Quelques passagers furent secoués sans grand mal heureusement comme on a pu le constater un plus tard. Le pare-brise Deux ou trois automobiles avaient des tôles froissées; la vitre avant de la camionnette fautive s'était fissurée. La Police et les pompiers arrivèrent rapidement sur les lieux malgré le temps pourri et les embouteillages. Heureusement, il y avait plus de peur que de mal puisque aucun blessé n'était à déplorer. Ce fut le constat à l'amiable qui traîna en longueur. Dès lors, j'étais certain que j'allais passer un bon moment sur place, le temps que tout se remette en place, lentement hélas. Et puis, mes parents, certainement et à juste titre, gagnés par l'inquiétude ignoraient ce qui se passait: j' avais encore oublié mon téléphone portable en quittant la maison ce matin ! Ce qui n'arrangeait rien comme je l'ai appris plus tard, en arrivant enfin à domicile lorsque je me mis à leur raconter les péripéties de mon retour à la maison, près trois heures après ma sortie de l'établissement.
un bon moment sur place ! Qui plus est, j'avais oublié mon téléphone portable, je ne pouvais donc pas joindre mes parents qui étaient, à coup sûr, gagnés par l'inquiétude
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