Répondre :
1- Nous pouvons identifier les thèmes du texte: la volonté, la vie humaine.
2- Ici, la thèse du texte semble être la volonté: "Mais que la volonté vienne à manquer d'objet, qu'une prompte satisfaction vienne à lui enlever tout motif de désirer, et les voilà tombés dans un vide épouvantable, dans l'ennui;[...]".(ligne 7;9)
Schopenhauer explique que quand autrui n'éprouve plus de désir, dès qu'une petite satisfaction se présente, alors autrui n'aurait plus de raison de vouloir désirer.
A première vue, ce qui pourrait paraître paradoxale est la satisfaction.
Paradoxalement, si chaque fois que nous éprouvons une légère satisfaction, nous n'avions plus de raison de vouloir désirer, il y aurait un décalage.
3- D'après Schopenhauer, la volonté n'est pas quelque chose d'indispensable en soi: "[T]out vouloir a pour principe un besoin, un manque, donc une douleur; " (ligne 1;3)
Schopenhauer dit: "Entre les désirs et leurs réalisations s'écoule toute la vie humaine". (ligne 16;17)
Nous pouvons comprendre ce passage comme le fait qu'un espace de temps très long se passe entre les deux.
Ici, "désir" est synonyme "d'ennui".
En effet, Schopenhauer fait référence à un pendule avec d'un côté la souffrance et de l'autre l'ennui: "La vie donc oscille, comme un pendule, de droite à gauche, de la souffrance à l'ennui" (ligne 10;11)
Pour lui, le désir est une souffrance, puisqu'il signifie quelque chose que nous n'avons pas.
Dès lors: "[...] les hommes ayant placé toutes les douleurs, toutes les souffrances dans l'enfer, pour remplir le ciel n'ont plus trouvé que l'ennui."(13;15)
Finalement, nous comprenons que les hommes ont passé la majeur partie de leur vies à repousser la souffrance. Durant ce temps, leurs désirs ne sont resté qu'à l'état de désir, d'idéal à atteindre.
Ainsi, nous pouvons lié ceci à un passage du texte: "Entre les désirs et leurs réalisations s'écoule toute la vie humaine." (ligne 16;17)
2- Ici, la thèse du texte semble être la volonté: "Mais que la volonté vienne à manquer d'objet, qu'une prompte satisfaction vienne à lui enlever tout motif de désirer, et les voilà tombés dans un vide épouvantable, dans l'ennui;[...]".(ligne 7;9)
Schopenhauer explique que quand autrui n'éprouve plus de désir, dès qu'une petite satisfaction se présente, alors autrui n'aurait plus de raison de vouloir désirer.
A première vue, ce qui pourrait paraître paradoxale est la satisfaction.
Paradoxalement, si chaque fois que nous éprouvons une légère satisfaction, nous n'avions plus de raison de vouloir désirer, il y aurait un décalage.
3- D'après Schopenhauer, la volonté n'est pas quelque chose d'indispensable en soi: "[T]out vouloir a pour principe un besoin, un manque, donc une douleur; " (ligne 1;3)
Schopenhauer dit: "Entre les désirs et leurs réalisations s'écoule toute la vie humaine". (ligne 16;17)
Nous pouvons comprendre ce passage comme le fait qu'un espace de temps très long se passe entre les deux.
Ici, "désir" est synonyme "d'ennui".
En effet, Schopenhauer fait référence à un pendule avec d'un côté la souffrance et de l'autre l'ennui: "La vie donc oscille, comme un pendule, de droite à gauche, de la souffrance à l'ennui" (ligne 10;11)
Pour lui, le désir est une souffrance, puisqu'il signifie quelque chose que nous n'avons pas.
Dès lors: "[...] les hommes ayant placé toutes les douleurs, toutes les souffrances dans l'enfer, pour remplir le ciel n'ont plus trouvé que l'ennui."(13;15)
Finalement, nous comprenons que les hommes ont passé la majeur partie de leur vies à repousser la souffrance. Durant ce temps, leurs désirs ne sont resté qu'à l'état de désir, d'idéal à atteindre.
Ainsi, nous pouvons lié ceci à un passage du texte: "Entre les désirs et leurs réalisations s'écoule toute la vie humaine." (ligne 16;17)
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