Bonjour,je suppose que tu connais cette expression,donc tu pourrais éventuellement commencer ton récit par: une effroyable dispute éclata entre les deux voisins pour un malheureux arbre qui devait être couper. Car la charmante voisine dont le mari était d'une incroyable noblesse ordonna la mort de l'arbre, celui-ci faisait de l'ombre à ses fleurs. Évidemment les propriétaires du malheureux n'envisageaient pas ce geste. Devant leurs refus de ne pas obtenir gain de causes, aussitôt dit aussitôt fait,les avocats étaient devant la porte des malheureux. Se regardant têtes baissées....ils n'avaient plus le choix... c'était perdu d'avance....
