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En conclusion, on distingue donc deux formes de bonheur. La première forme de bonheur est celle qui réside dans l’illusion. Avec les bonheurs qui ne dépendent pas de nous, nous avons l’illusion qu’il s’agit d’un bonheur véritable et durable. Peut-être même s’agit-il d’une illusion au point où ce qu’on croit être un bonheur, à savoir l’assouvissement d’un désir, n’est peut-être que la perpétuation d’une condition tragique. Et si on maintient qu’il s’agit de bonheur, il s’agit, dans le cas des bonheurs où participe la fortune, de bonheurs fragiles et momentanés. Mais après tout, ce que l’on ressent est peut-être tout de même un bonheur. Ce n’est pas parce que le hasard m’a apporté le bonheur que je dois me priver de m’en réjouir. Simplement il ne faut pas se faire d’illusion : ces bonheurs sont fragiles. L’illusion consiste à leur accorder trop de force.
Par contre, le bonheur que nous apporte l’action vertueuse, conduite par la raison, ne réside pas dans l’illusion
mais dans la nature spécifique de l’homme. Ce bonheur là réside dans l’agir raisonnable et vertueux.
Il y a donc en conclusion deux bonheurs : l’un réside dans l’illusion (et dans des causes extérieures), et l’autre pas (il réside dans Faction de la raison). Néanmoins, les deux sont des formes de bonheur, l’essentiel étant peut-être davantage le sentiment que ce qui le produit.
En conclusion, on distingue donc deux formes de bonheur. La première forme de bonheur est celle qui réside dans l’illusion. Avec les bonheurs qui ne dépendent pas de nous, nous avons l’illusion qu’il s’agit d’un bonheur véritable et durable. Peut-être même s’agit-il d’une illusion au point où ce qu’on croit être un bonheur, à savoir l’assouvissement d’un désir, n’est peut-être que la perpétuation d’une condition tragique. Et si on maintient qu’il s’agit de bonheur, il s’agit, dans le cas des bonheurs où participe la fortune, de bonheurs fragiles et momentanés. Mais après tout, ce que l’on ressent est peut-être tout de même un bonheur. Ce n’est pas parce que le hasard m’a apporté le bonheur que je dois me priver de m’en réjouir. Simplement il ne faut pas se faire d’illusion : ces bonheurs sont fragiles. L’illusion consiste à leur accorder trop de force.
Par contre, le bonheur que nous apporte l’action vertueuse, conduite par la raison, ne réside pas dans l’illusion
mais dans la nature spécifique de l’homme. Ce bonheur là réside dans l’agir raisonnable et vertueux.
Il y a donc en conclusion deux bonheurs : l’un réside dans l’illusion (et dans des causes extérieures), et l’autre pas (il réside dans Faction de la raison). Néanmoins, les deux sont des formes de bonheur, l’essentiel étant peut-être davantage le sentiment que ce qui le produit.
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