Réponse :
Bonjour, je te propose une trame de recherche.
J'ai répondu à tes questions, mais pour ta conclusion, soit tu te sers de mes remarques en matière de sécurisation des transports de paquets sous IP, soit tu creuses un peu plus le sujet, car au total il est quand même assez complexe.
Ne connaissant pas ton niveau, je m'en suis tenu aux titres, notamment des protocoles, afin que tu ailles puiser les infos qui sont susceptibles de t'intéresser.
Explications :
L'IPv4 utilise un espace d'adressage 32 bits équivalant à 4 octets. Cela signifie que le nombre total d'adresses IP sur Internet peut aller jusqu'à 2 puissance 32. C'est à dire environ 4,3 milliards d'adresses et plus précisément : 4.294.967.296 adresses IP attribuées. L'IPV4 atteint ses ultimes limites fin 2019.
L'IPV6 proposera théoriquement :
340.282.366.920.938.463.463.374.607.431.768.211.456 adresses différentes, c'est à dire en arrondi, une masse gigantesque de 340 x 10 puissance 36 ; sachant qu'1 milliard d'adresses est égal à 10 puissance 9, l'IPV6 sans être illimité suffira très largement à subvenir aux besoins de la planète pour plusieurs siècles.
Sous réserves qu'un IPV7 / 8 / 9 etc. ne vienne le détrôner avant ce qui est technologiquement probable.
L'énorme avantage de l'IPV6 et cela répond à la question relative à la sécurisation des données, est que ce protocole crypte les données en 128 bits numériques et que le protocole HTTPS rendu obligatoire constitue une très forte sécurisation des données.
Mais n'oublions pas qu'en matière informatique le risque ne vient pas de la technologie mais des utilisateurs qui manquent douloureusement de rigueur !
Chacun devra se familiariser selon son utilisation et l'importance des données à faire transiter aux différents protocoles tels que :
Les certificats SSL à validation de domaine (DV)
Les certificats SSL à validation de l’organisation (OV)
Les certificats SSL à validation étendue (EV)