Répondre :
Ceci pourra t'aide :
Zola étant le chef du mouvement naturaliste, il s’est attaché dans son œuvre à peindre au
mieux la réalité, a la décrire. Ce passage est un exempl de son attachement à l’observation et à
la retranscription du réel :
la ligne de train existe réellement puisqu’il s’agit du trajet entre le les villes : Havre et Paris.
Zola respecte l’ambiance de la fin du XIXe siècle, en pleine révolution industrielle..
Les personnages appartiennent aux classes laborieuses et populaires, ce qui explique leur
désignation simple : « Pecqueux », « Jacques »
Il s’agit donc bien de s’intéresser au quotidien d’une classe sociale, ce qui était loin des romantiques
du siècle. Mais Zola a également effectué de nombreuses recherches, comme un journaliste
d’investigation, pour rendre compte au plus près de la réalité du fonctionnement des machines : « La
chaudière était pourvue d’eau, le charbon dont le foyer venait d’être rempli, s’embrasait ; et, pendant
la première demi-heure, la pression monta follement »
Pour cela (et ce fut le cas pour tous ses romans), Zola a beaucoup lu. En l’occurrence, un ouvrage
important pour ce passage est Les Chemins de fer de Cerbelaud et Pol Lefèvre.
B) Des détails précis et atroces
Ces détails sont amenés avec le plus dE DESCRIPTIONS possible, c’est-à-dire avec un ton volontairement
très neutre, ce qui se ressent bien dans la syntaxe adoptée et le vocabulaire épuré : « sans tête ».
II- La métamorphose du train
A) Une puissance libérée
A partir du moment où plus personne ne conduit la locomotive, le train libéré semble devenir fou. La
machine se métamorphose. Inspire toi en ne copie pas le texte, et bonne chance !
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