Je marchai dans la rue et je vis un oiseau. Il était blessé, je courru vers lui. Je vis ses ailes qui saignaient abondament. Je le mis dans un mouchoir et l’emmna avec moi. Je me dépechai d’aller au vétérinaire le plus proche qui pourrait le guérrir avant qu’il ne soit trop tard. Mais lorsque je passai le seuil de la porte, l’oiseau, recouvert de sang, quand le dernier souffle eut enlevé son ame.