Bonjour, je voudrais savoir si il était possible que vous corrigiez mes fautes d'orthographes dans ce texte :
Le vendredi 30 juin 2017 restera certainement à jamais gravé dans ma mémoire. Comme tous les vendredi une semaine sur deux depuis quatre ans , je rentrais chez ma mère. Effectivement, il y a cinq ans, mes parents ont divorcés et, un an plus tard, ma mère accepta un poste de cadre à Paris, dans l’entreprise audiovisuelle TF1. J’ai alors décidé de rester vivre chez mon père, à Saint-Brieuc, afin de ne pas me séparer de mes amis et de ma petite copine, Lise. Bien que ma mère habite à quatre cent cinquante kilomètres de moi, je m’étais habitué à ce rythme, et surtout à ces trajets en train hebdomadaires. Ce jour là tout particulièrement, j’étais impatient de prendre le train, pour retrouver ma mère, certes, mais surtout car aujourd’hui c’était l’inauguration de la LGV (Ligne à Grande Vitesse) Rennes-Paris, j’allais normalement mettre deux heures et quinze minutes pour rejoindre Paris ! Ce matin-là, je devais être à la gare de Saint-Brieuc à 9h30, mais je suis finalement arrivé avec quinze minutes de retard, heureusement que le train l’étais tout autant ; j’ai bien failli le raté (et j’aurais peut-être dû) ! Dans un premier temps, le trajet se déroula normalement, Le train était bondé, les curieux étaient venus nombreux , j’écoutais une chanson sur mon téléphone portable, une chanson de Jacques Brel intitulée: La chanson des vieux amants. C’était une chanson que j’affectionnais beaucoup, notamment car me rappelait l’amour que je portais à Lise, car nous étions souvent comparés à un « vieux couple ». Sur ces douces paroles, je m’étais assoupi. Je fus réveillé brutalement par le bruit sourd de ma tête sur le siège d’en face, quand je repris mes esprits quelques instants plus tard, je compris que quelque chose de grave venait de se produire. Avant même de chercher à savoir ce qu’il venait de se passer, je suis partis porter secours à certains passagers qui avaient l’air souffrants car cela faisait un an que j’étais devenu Jeune Sapeur Pompier.Je savais que mon aide et mes connaissances pouvaient être précieuses. Nous nous Fîmes vite ordonner de rester dans notre wagon, qui selon ce que j’entendais, était « l’un des moins touché ». Lorsque la tension fut retombée dans notre secteur, alors que nous étions encore confinés, une conductrice m’appris que nous avions percuté un autre train, que le bilan de morts était conséquent et que nous avions de la chance d’être dans le wagon le plus reculé. Lorsque j’appris tout cela, je fus évidemment rassuré, mais une question m’envahissait l’esprit : comment et pourquoi cette collision avait elle pu avoir lieu ?
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